Dans la plupart des cas, les statuts prévoient le mode de révocation des dirigeants en l'absence de faute de leur part.
Si ce n'est pas le cas, l'organe ayant désigné le dirigeant peut le forcer à démissionner, sans justification, en adoptant une délibération en ce sens et en respectant les mêmes conditions de vote que lors de son élection (quorum, majorité).