L’évaluation du préjudice implique alors l’analyse du statut de la victime, de son passé, présent et futur « économique », afin de déterminer les pertes subies et le manque à gagner.
Toutes les victimes ayant eu des séquelles assez graves (traumatisme crânien, tétraplégie, paraplégie, amputation, traumatisme médullaire...) à la suite d’un accident de la route, qui exerçaient une activité économique avant l’accident, peuvent se prévaloir d’un préjudice économique.
Bien évidemment, un lien entre l’accident et le préjudice doit exister.