Lorsque le salarié est victime de harcèlement moral, il peut prendre acte de la rupture de son contrat de travail aux torts de l’employeur mais il doit être prudent.
Il faut que les manquements soient suffisamment graves et compromettent la relation contractuelle.
Le harcèlement moral et le harcèlement sexuel sont des faits graves qui peuvent – au moment où le salarié les subit – justifier une telle prise d’acte.
Mais peuvent ils justifier une prise d’acte de la rupture du contrat de travail aux torts de l’employeur plusieurs mois après ?
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A très vite sur mon blog principal
Bien cordialement
Carole VERCHEYRE-GRARD