En France, la thématique des risques psychosociaux s'est développée à partir des années 2000 et depuis, s’est fortement médiatisée à la suite d’une dégradation croissante de la santé des travailleurs constatée dans certaines grandes sociétés (suicides chez France Télécom, Renault, Disneyland Paris…) qui, au demeurant, ne sont pas les seules à devoir s’en soucier puisque, c’est l’ensemble des salariés français (PME et TPE comprises) qui sont concernés par la promotion d’une meilleure qualité de vie au travail.
Pour l’heure, il n’existe pas de définition juridique du risque psychosocial au travail même si certains de ses aspects font l'objet d'une définition (ainsi du harcèlement, de la discrimination et depuis l'accord national interprofessionnel du 2 juillet 2008, du stress).
C’est pourquoi, l'approche des risques psychosociaux se doit d’être à la fois une approche individuelle et collective sous peine de se priver de la possibilité de mettre en place une prévention efficace. Aussi, l'identification et l'évaluation du risque sont toujours un préalable et constituent la première étape d'une démarche qui se donne pour objectif de remonter le plus en amont possible du processus accidentel ou pathogène.
En l’occurrence, face à l'insuffisance des indicateurs des risques, il convient déjà d’insister sur l'importance de la formation et de l'information des acteurs.
En cas d’inertie, la mise en jeux de la responsabilité civile et pénale du chef d’entreprise peut être engagée, au même titre que la responsabilité pénale de la personne morale, mettant alors l’avenir économique et social de l’entreprise en péril.
Entièrement pensé et construit à partir des évolutions du droit du travail et des pratiques opérationnelles observées en entreprises, ce stage de formation se divise entre la transmission de connaissances théoriques sur les risques psychosociaux et leur méthode de prévention et le partage d’une pédagogie d’actions indispensables pour assurer un traitement optimal des risques professionnels.
Alors, je vous donne rendez-vous sur www.clindoeil-social.com pour une prise de contact ainsi que la fourniture d'informations.
Nadia RAKIB
Dirigeante CLINDOEIL
Pour l’heure, il n’existe pas de définition juridique du risque psychosocial au travail même si certains de ses aspects font l'objet d'une définition (ainsi du harcèlement, de la discrimination et depuis l'accord national interprofessionnel du 2 juillet 2008, du stress).
C’est pourquoi, l'approche des risques psychosociaux se doit d’être à la fois une approche individuelle et collective sous peine de se priver de la possibilité de mettre en place une prévention efficace. Aussi, l'identification et l'évaluation du risque sont toujours un préalable et constituent la première étape d'une démarche qui se donne pour objectif de remonter le plus en amont possible du processus accidentel ou pathogène.
En l’occurrence, face à l'insuffisance des indicateurs des risques, il convient déjà d’insister sur l'importance de la formation et de l'information des acteurs.
En cas d’inertie, la mise en jeux de la responsabilité civile et pénale du chef d’entreprise peut être engagée, au même titre que la responsabilité pénale de la personne morale, mettant alors l’avenir économique et social de l’entreprise en péril.
Entièrement pensé et construit à partir des évolutions du droit du travail et des pratiques opérationnelles observées en entreprises, ce stage de formation se divise entre la transmission de connaissances théoriques sur les risques psychosociaux et leur méthode de prévention et le partage d’une pédagogie d’actions indispensables pour assurer un traitement optimal des risques professionnels.
Alors, je vous donne rendez-vous sur www.clindoeil-social.com pour une prise de contact ainsi que la fourniture d'informations.
Nadia RAKIB
Dirigeante CLINDOEIL