Bonjour, j aimerais connaître les possibilités de pouvoir protéger notre petite fille de 3 ans durant la procédure en cassation. Fev 2018 sa mère l emmène à 500 kms d ici. Notre fils la reverra de par sa décision qu après jugement prévu en septembre. Inacceptable pr l enfant qui a 28 mois et est totalement déraciné de ses habitudes et coupée de sa famille paternelle. Le caractère immature et irresponsable. Instable de sa mère fera rendre le jugement en réfere en faveur de notre fils son père auprès de qui elle réintègre la maison familiale en juin. En septembre elle entre à l école et s épanouie. Elle a 3 ans en octobre. L appel à lieu et le jugement rendu hier donne la garde à la mère au simple motif qu elle peut s en occuper car contrairement à notre fils elle ne travaille pas. Notre fils a des horaires le rendant absent durant l école. Ns avons décidé le pourvoi en cassation car les droits de l enfants ne sont pas respectés. Très inquiet pr le traumatisme à venir à son âge, nous souhaiterions une ordonnance d exception qui la protégerait d un déracinement de nouveau de ses habitudes et de son école en janvier pr peut-être réintégrer à l issue des procédures le domicile de son père et éviter que la petite ne fasse deux écoles maternelles à 500 km dans la mm année après avoir vécu la coupure paternelle de force en février jusqu à juin. Comment faire que la petite puisse poursuivre du moins jusqu à la fin de la procédure dans ses repaires son année scolaire sans subir des allées retours aux conséquences très lourdes pr son petit âge. Est ce qu un juge en cassation peut fr suspendre la décision d appel dans l intérêt de l enfant durant la procédure au minimum ? Merci de ns éclairer sur une situation lourde et préoccupante pr cette petite fille de 3 ans Tt juste qui force l admiration par sa volonté et sa joie de vivre. Merci de ns aider à la protéger au mieux durant les procedures contre les vengeances personnelles de sa mère.