Bonjour,
Voila notre question, avec l'expérience que nous vivons actuellement.
Ma compagne a un fils de 4 ans 1/2, placé sous sa garde à notre domicile via un JAF.
Le weekend du 18/11/17, lors de la garde du père, une gendarme nous appel pour nous signaler le placement en urgence du petit chez son père, dû à une plainte pour refus de soins, suite à un épisode de gale.
Bien sur nous pouvons fournir les document attestant que l'on à bien traiter la dite maladie. La gendarme dit qu'elle nous entendra en temps et en heures.
Du 18/11/17, jusqu'au 27/11/17, aucun courrier ne nous a été envoyés pour nous expliquer/ indiquer l'OPP ( ordonnance de placement provisoire). Trois rendez vous son fixer en date du 20/11/17 (annulé le 19), du 22/11/17 (annulé 30 min avant) et 27/11/17 (annulé 1h avant).
C'est trois rendez vous son annulé succesivement pour les besoin de l'enquete.
Le 27/11/17 à 15h30, suite a NOTRE demande , nous sommes entendu ma compagne et moi même en audition libre.
Lors de l'audition de ma compagne, le gendarme reçoit un document du procureur. Il le remet en main propre à ma compagne. C'est L'ordonnance de placement provisoire qui place l'enfant chez son pére, en date du 27/11/17, et non en date du 18/11/17.
Les motifs du placement son divers et variés, Refus de soins, mauvaise organisation des soins, refus de traitement psychologique de l'enfant...
Ces motifs nous sont signalés le 27/11/17, alors que les preuves qui conteste ces motifs sont dans les mains du gendarme et entre les mains du parquet (notre avocate les ayant remis directement le 21/11/17).
Voila notre situation à ce jour.
Pourquoi il y a une semaine de battement entre le placement de l'enfant en date du 18/11/17 et le signalement au parent en date du 27/11/17 ?
Surtout que le placement prend effet le 27/11/17.
Que c'est il passer durant cette semaine?
Est ce normal qu'il y ai de tels délais?
Existe des recours pour nous? Si oui, lequels?