Bonjour, Monsieur,
Effectivement, il existe la Licitation servant, entre autre, à faire cesser l'indivision, comme dans votre cas.
Il s'agit d'une vente-partage.
Vous vendez à votre concubine votre moitié de bien immobilier moyennant un prix évalué correctement et, avec cet argent vous remboursez votre part de prêt.
Votre concubine souscrit un prêt dans un autre établissement, à son nom proprequi lui permet de solder le premier, et, de cette façon, vous disparaissez de la propriété du bien et vous n'êtes plus engagé vis à vis de la Banque, en cas de défaillance de votre concubine.
Ci-dessus, je parlais de partage car les droits de mutation sont calculés sur la base du droit de partage et nom soumis aux droits de mutation à titre onéreux.
ATTENTION ! Si non pacsés , mêmes droits fiscaux que pour les ventes