Bonjour, Dumart.
Tout comme vous l'évoquez d'ailleurs,
- Soit on peut "décalquer l'ancienne sur la nouvelle situation", en ce sens que la totalité du prix de vente sera réinvesti dans un autre nouveau bien de votre choix commun (portefeuille d'actions, placements divers, immobilier...); et dont votre mère touchera alors les loyers, les revenus, les intérêts, ou les dividendes...; votre frère et vous restant propriétaires du "capital nu" amputé de l'usufruit;
- Soit vous "capitalisez son usufruit" -les barêmes des compagnies d'assurances-vie en déterminant le pourcentage à l'entier, en raison de son âge- et chacun reçoit son chèque, comme vous le dites fort bien, "pour solde de tout compte".
Le choix entre les deux options -qui n'ont en valeur absolue aucune prépondérance, aucun avantage formel permettant à l'une de se démarquer comme meilleure que l'autre- n'est qu'affaire de commodité personnelle pour votre mère (qui a bien droit à celà en sa qualité de "bienfaisante donatrice".
Votre bien dévoué.
P. S. Si vous investissez le prix, en hypothèse 1, dans des lingots d'or, le seul droit de votre mère sera celui de pouvoir les regarder, et de jouer avec.
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"Meurs et deviens."
- Goethe [Johann (comme moi!) Wolfgang (comme Lui) (von)] -
(conseil à donner à la chenille; pour qu'elle se réalise-finalise-perfectionne, en devenant papillon)
Variante dite à l'oeuf: -Casse toi ! (oiseau ou reptile?)