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Bonjour,
Je suis maman de deux filles de 5 et 8 ans. Je n'ai pas envie de remettre en cause ma vie familiale. Mon conjoint et père de mes enfants ne me semble pas toujours dans une attitude bénéfique à mon encontre et parfois vis à vis des enfants. Il lui arrive d'être nerveux et prompte à l'insulte ou aux phrases destructrices. Il arrive que je cherche à modérer ses propos devant les enfants au moins. Cette colère se tourne vers moi. J'ai accepté ce rôle de tampon. Mais la difficulté est qu'elle se passe dans un cadre privé, que mon conjoint est vu comme quelqu'un de merveilleux à l'extérieur. Cela dure depuis assez longtemps pour que je me retrouve parfois comme engluée dans un système qui me dépasse. Je me suis interrogée, me confrontant à des médecins. Mon conjoint a émis l'idée plusieurs fois que j'étais une mauvaise mère et quelqu'un de méchant. J'ai douté de moi. J'aime mes enfants et je ne souhaite pas qu'elles vivent des perversions même psychologiques. Ayant vécu des abus moi-même enfant, le doute de la transmission existé. J'ai donc fait le choix de chercher à comprendre et m'interroger psychologiquement . Je vis souvent dans la peur des réactions de celui qui est sensé m'accompagner. J'ai souhaité partir plusieurs fois. tout en refusant incidemment de mettre mes enfants dans la précarité d'une chambre d'hôtel. C'est encore pire et cette situation est épuisante à vivre. J'ai demandé si les"connasse", ferme ta gueule" "tu feras ça quant tu éléveras les enfants seule", "si t'es pas contente tu te tires"...Sans compter sur cette nervosité physique qui fait que régulièrement, si j'exprime un désaccord ou une inquiétude, il devient très gentil et calme avec les enfants mais son ébullition nerveuse comme une cocotte minute à mon encontre me fais peur. Je sais que je suis seule à mettre un frein à cette situation mais j'ai exprimé dernièrement le fait de refuser désormais les insultes, les cris et la précarité affective et matérielle dans lequel il me plonge à ce moment là. Il me place alors comme unique responsable et cette situation est écrasante. Je luis exprime que je tiens à lui et à notre famille mais il me parle de Dass, de Sos femmes battues, de plainte à la police. Tout est exagération, amplification voir invention. Il parle alors en flot continu de choses horribles que j'aurais dit sans que cela existe réellement. Comment puis-je me protéger sans devoir me placer dans une situation précaire matériellement et protéger surtout mes enfants.
Prendre un avocat et demander le divorce (si vous y arrivez), sinon, vous devez commencer par avoir votre indépendance financière afin de pouvoir partir.
Le logement que vous occupez est à qui ?
Nous avons acheté la maison de ses grand-parents ensembles. Ses parents l'ont aidés. Ses parts sont plus grandes. Je me suis investie dans cette maison. J'en ai peint chaque centimètre, petit à petit, cherchant à créer les racines de la famille que nous sommes censés vivre. Je prépare un doctorat et j'enseigne à mi-temps à la faculté. J'ai un cdd renouvelable qui ne me permet pas de prendre un logement dans le privé.
Quand j'ai abordé la question de partir il y a quelques années pour éviter trop longtemps la colère que je vois parfois chez lui, ou pour lui exprimer qu'on ne peut pas insulter quelqu'un qu'on dit "aimer", que je ne peux pas accepter d'être insulter devant les enfants. Il a dit aux enfants que je voulais les séparer, que c'était de ma faute et cela a été une porte ouverte à des mots et des situations qui dépassent mon entendement. Cela demande une énergie que je n'ai pas en ce moment. Je viens de perdre deux personnes proches. J'ai exprimé à mon conjoint ma physique temporaire, physique et psychologique liés à ces deuils à faire. Depuis, c'est encore pire.
Est ce que déposer une main-courante est une solution? Il est et restera le père de mes enfants, quoique je fasse sera détourner à mon encontre. Cette démarche est difficile. Je tiens à lui, j'ai besoin qu'il soit bien dans sa tête pour mes enfants et parce que je ne suis pas exempte d'empathie. J'ai bien conscience d'une souffrance de sa part. Quand on va bien, on ne fait pas de mal... Mais je dois rester debout et je devrais ne pas avoir à vivre avec la peur chez moi. Merci de votre aide. Je ne suis pas fière de cette situation.
Une main courante n'a aucune valeur de rien.
Il faut que vous preniez une décision : soit vous assumez le fait de vous faire traiter comme un chien (ce qui ne l'empêchera pas de vous jeter dehors quand il en aura retrouvé une plus jeune et bien docile), soit vous prenez votre vie en main sans vous trouver d'excuses (avoir peint des pièces pour justifier de ne pas pouvoir partir, secouez-vous !)
Je rejoins Domil, rien ne justifie que l'on accepte de se faire mettre plus bas que terre, ni l'amour, ni les enfants, et encore moins pour les enfants, qui prefereront de loin manger des pates tous les jours mais ne plus vivre dans l'angoisse d'un huis clos où leur mere se fait insulter et humilier devant eux. Les enfants sont tout, sauf aveugles.
Et dites vous bien que le processus est enclenché et qu'il n'arretera jamais de vous insulter et de vous persecuter mentalement, c'est fini, le pli est pris, il ne changera pas. A vous de voir s'il vous reste encore assez d'amour propre et de caractere pour partir. D'autres femmes ont su partir avec moins que vous, sans aucun bagage professionnel, avec des salaires de femme de menage mais elles ont sauvé leurs enfants et leur honneur
Redressez la tete et dites vous que le pauvre type, c'est lui et qu'il n'est pas à plaindre. Tout pendant que vous le plaindrez, vous n'avancerez pas. Allez voir une assistante sociale et voir comment vous pourriez vous y prendre pour partir sans trop de complication
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Toute société, pour se maintenir et vivre, a besoin absolument de respecter quelqu'un et quelque chose.
(Fiodor Dostoïevski)
Merci beaucoup à vous deux. J'ai pris rendez vous avec un conseiller juridique. Avec un psy pur m'aider à négocier avec le plus de distance possible les moments à venir. J'ai déposé une main courante cette après-midi, parce que j'ai peur, physiquement et moralement. . Je ne suis pas fière, j'ai même honte. Mais je vais tenter de redresser la tête et recouvrir un peu de dignité. Merci beaucoup encore. Si vous avez des conseils, je suis preneuse.
Je ne suis pas fière, j'ai même honte
C'est exactement ce que ce genre d'homme veut et réussit. Ce n'est pas vous qui devriez avoir honte, c'est lui. Il a profité de votre volonté à toujours tout aplanir et arrondir les angles pour ne pas brusquer monsieur. Et vous etes rentrée tout doucement mais surement dans un cercle infernal.
Vous etes jeune, intelligente et cultivée, de bons enfants et la vie devant vous. Quoi demander de plus, vous avez tout pour reussir et en plus vous etes consciente.
Vous avez commencé votre parcours de la "combattante" en ayant ete voir un conseiller juridique, une psy pour vous accompagner. Continuez dans votre lancee, ne lui en parlez pas qu'il n'ait aucune prise sur vous.
Bon courage, vous tenez le bon bout
j'ai peur, physiquement
Parce qu'il vous frappe en plus ?
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Toute société, pour se maintenir et vivre, a besoin absolument de respecter quelqu'un et quelque chose.
(Fiodor Dostoïevski)
La menace de l'explosion est déstabilisante, cyclique et très proche physiquement. C'est quelqu'un d'intelligent. Il est arrivé qu'il tape la porte à côté de moi, ou se mette à trembler en me demandant de partir sinon "ça va partir", il a fait le geste de me mettre un coup de la tête en s'arrêtant à quelque millimètre de mon visage, souriant- j'ai eu vraiment peur-en me disant "mais je voulais t'embrasser". Je pars quand je ne suis pas trop tétanisée. Je suis restée prostrée des journées, marchant en gémissant et attendant la sortie d'école de mes enfants. Je ne peux pas partir tout le temps. Je ne veux plus gémir. Je ne suis pas à l'aise avec le mensonge et cacher mes démarches est le seul moyen de me protéger le temps de trouver des solutions, avant de devoir en parler à mes enfants mais je n'aime pas cela. Je tente dans ma vie de ne pas faire à quelqu'un ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse. Ce qu'il me fait, je le ressens violemment. J'ai oublié qui j'étais parfois ou au moins ce que j'avais envie d'être. Le décès d'un ami m'a renvoyée à ce que j'étais avant. Je fais ce que je peux pour rester correcte et cohérente. Il est le père de mes enfants, ce qui sous-entend que je devrais toujours être en contacte avec lui. Que je vais devoir lui confier les enfants sans être un tampon des fois à sa colère. J'aurais aimé trouver le moyen de garder ma famille et de continuer à veiller jour après jour. C'est un deuil à faire. Merci, cela me fait du bien d'avoir votre point de vue.
Lors du divorce, le juge peut tres bien decider que vous restiez vivre dans la maison et que ce soit lui qui parte. Puisque vous n'avez que peu de revenus, vous avez droit à l'aide juridictionnelle, faites en la demande et choisissez un avocat dans la liste qu'on vous fournira.
Il vaut mieux que pour l'instant vous gardiez ça pour vous, n'en parlez meme pas à vos enfants. C'est le genre d'homme qui peut peter un plomb en sentant qu'il va perdre son jouet, sa tete de turc
Vous avez fait comme beaucoup de femmes, essayé de garder votre petite famille unie, ça n'a pas marché mais ce n'est pas de votre faute, vous ne serez pas la 1ere divorcee ni la derniere. Et les enfants s'adaptent tres facilement aux nouvelles situations, surtout quand ils voient leur maman revivre sans crainte d'etre "persecutée" à tout moment.
C'est sur que ça peut faire peur de tout changer, mais vous reprendrez confiance en vous et lui montrerez qu'il n'a plus aucune ascendance sur vous, qu'il trouve quelqu'un d'autre.
Malheureusement il ne changera pas, à moins qu'il fasse un gros travail sur lui, qu'il aille voir un psy et chercher d'où vient son besoin de demolir celle qui a tout supporté.
Moi, personnellement, je ne pourrai avoir aucun amour pour un homme qui se comporterait comme ça avec moi, quand bien meme je l'aurai aimé au point de faire des enfants avec. Il aurait tué tout amour et tout respect que je pourrai avoir eu un jour
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(Fiodor Dostoïevski)
Il vaut mieux que pour l'instant vous gardiez ça pour vous, n'en parlez meme pas à vos enfants. C'est le genre d'homme qui peut peter un plomb en sentant qu'il va perdre son jouet, sa tete de turc
Il va comprendre quand il recevra la convocation à l'audience.
Il va comprendre quand il recevra la convocation à l'audience.
Oui, mais la machine sera en route, il se trouvera devant le fait accompli
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Toute société, pour se maintenir et vivre, a besoin absolument de respecter quelqu'un et quelque chose.
(Fiodor Dostoïevski)
De toute façon
1) elle retrouve du travail (je suppose qu'elle ne travaille pas pour se faire traiter ainsi), n'importe quoi
2) elle va voir un avocat.
Ne pas oublier que si on ne peut pas prouver de faute et que l'autre refuse de divorcer, il faut partir et attendre deux ans de séparation
Je prépare un doctorat et j'enseigne à mi-temps à la faculté. J'ai un cdd renouvelable qui ne me permet pas de prendre un logement dans le privé.
Donc faites une demande de logement aupres de votre mairie, les loyers sont moindres, et vous aurez droit à l'allocation logement avec deux enfants
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Toute société, pour se maintenir et vivre, a besoin absolument de respecter quelqu'un et quelque chose.
(Fiodor Dostoïevski)
Elle n'est pas en situation d'urgence, elle est bien logée, je doute qu'elle obtienne un logement social avant des années (il y a tellement de gens dans des situations graves)
Qu'elle ait un tel niveau d'études et se laisse ainsi traiter, me dépasse. Il faut vous secouer sérieusement.
J'ai du travail. A 20 ans, j'avais marqué une incompréhension vis à vis d'une femme qui vivait cette situation. J'approche de la quarantaine et la vie m'a appris un peu d'humilité. Je ne suis pas mariée. Ma mère est décédée lorsque j'avais 5 ans. Mon père s'est remarié six mois après. J'ai été abusé sexuellement à 7 ans. Ca a été le début d'un long quotidien pour que je ne puisse pas parler. Dans le cas d'inceste, il arrive que des personnes cherchent à décrédibiliser socialement la personne dite victime. On ne sait rien de la vie et de ce qui est normal en dehors de notre environnement familiale quand on est enfant. J'ai mis des années à le comprendre. Mon père et sa femme de l'époque ont utilisés les indémnités liées au décès accidentel de ma mère, prévues au départ pour mon frère et moi. Mon viol et le vol ont été marqué par un denni, un rejet total de leur part. A 18 ans, je suis partie. J'ai fait le métier que j'avais envie de faire et le besoin de comprendre, de lire, d'analyser, d'accéder au savoir a été ma thérapie. Je travaillais et je m'offrais le luxe d'une année d'étude. J'ai appris que je ne pouvais pas avoir d'enfant, naturellement. Insimination et je suis tombée enceinte de jumeaux que j'ai appris morts intra-utérin au 5ème mois lors d'une échographie. Le père de ces jumeaux avortés m'a promis que nous allions essayé de ravoir un enfant. Je voulais soigner la mort par la vie. Quand je suis tombée enceinte quelque mois après, il était marqué par ce qui nous était arrivé et m'a dit qu'il ne pouvait pas à ce moment là et qu'il souhaitait que j'avorte. J'ai compris que sa demande était la fin de notre couple et je suis partie. Je ne pouvais pas supprimer cette vie. Le père biologique est tombé dans une colère sans nom. J'étais en Suisse avec un boulot qui me plaisait, je me suis retrouvée à Paris, trouvant du travail en quelques semaines, avec certaines de difficultés pour un logement. J'allais comme on peut aller mais heureuse, vraiment heureuse de cette vie en moi. J'ai rencontré des amis dont mon compagnon. Il était gentil, drôle. J'ai trouvé un logement quelques jours avant d'accoucher. Il m'a dit qu'il m'aimait .J'avais l'impression de vivre une belle histoire. J'ai eu besoin de cet amour et de cette vie légère. Je m'occupais de ma fille, il était mon compagnon. Je simplifie l'histoire mais ma fille a dit papa à mon compagnon et la question s'est posée de l'adoption avant ces deux ans. Je lui ai dit que s'il choisissait d'être le père de ma fille, nous devions vivre intelligemment et dans le respect parce que ce n'était pas possible pour moi autrement . Je suis tombée enceinte de la deuxième quelques mois plus tard, on a acheté la maison et cela a été le début des insultes et des menaces. J'ai le parcours que j'ai. Je suis responsable d'une certaine manière mais les enfants ont tellement été pris en otage que j'ai essayé d'apaiser parfois ou d'accepter afin qu'elles puissent par moment vivre un peu sereinement. J'ai souhaité me donner suffisamment la chance de trouver des solutions pour que mes enfants vivent une vie de famille. J'ai beaucoup tardé mais la situation de colère cyclique est compliquée et destabilisante. Vous avez Dr Jekill et Mr Hyde en quelques secondes et il vous faut faire la part des choses. Il arrive que des femmes qui travaillent, dans un milieu de réflexion, vivent aussi ces situations. J'ai conscience que ma vie est déjà lourde et que j'ai besoin d'un peu de sécurité, de calme pour reprendre confiance en moi. Ce qui va être long. Je vais voir avec le conseiller juridique jeudi et tenter de maintenir une vie professionnelle qui demande distance et réflexion alors que je suis un peu lessivée et que je dois le cacher... Et je dois réapprendre à me respecter. Merci. Vos réponses m'aident dans mon questionnement, même si je dois avouer que le juridique n'est pas mon domaine du tout. Est ce que vous avez vécu cette situation, si je peux me permettre cette question? Comme je viens de vous l'exposer, j'ai des ami(ies) que j'ai eu parfois du mal à voir à cause de ce malaise ou honte et peu de famille (en tout cas pas bénéfique du tout). Voilà, je suis désolée pour le caractère intime de ce parcours.
Et je dois réapprendre à me respecter
Je pense surtout qu'il faut que vous appreniez à VOUS FAIRE respecter. Ce respect vous a manqué dès votre tendre enfance quand vous avez ete abusé sexuellement par une personne tres proche. Puis plus tard, quand votre père vous a volé et ensuite quand vous avez ete abandonné par votre compagnon, et... Je pense que vous avez eu votre dose de ce cote là, ne vous laissez plus marcher dessus.
Vous m'avez l'air d'etre une personne bien et courageuse avec de l'ambition, rien qu'à voir comment vous avez réussi à faire vos etudes en n'ayant de merci à dire à personne sinon à vous. Ce que vous vivez avec votre compagnon, ça arrive dans tous les milieux sociaux et intellectuels, des femmes bafouées et battues, il y en a bien plus qu'on ne le pense, la honte les force à se taire malheureusement, alors que ce n'est pas elles qui devraient avoir honte, mais bien eux.
On a depassé le juridique, on est dans l'humain, pas besoin d'etre juriste pour vous conseiller de vous sortir de cette "prison". Et non, heureusement, il ne m'est jamais rien arrivé de tel, mais j'ai un certain caractere, voire un caractere certain et celui qui s'amuserait à m'insulter ou me frapper, non seulement, il s'en prendrait autant, mais je le quitte sur le champs car je n'aurai plus aucun respect pour lui. Et je ne pourrai pas continuer à aimer quelqu'un pour qui je n'ai plus de respect.
Vous avez toujours ete capable de vous en sortir, avec l'experience, vous vous en sortirez encore plus facilement. Il est normal qu'il y ait de la deception, mais vous ne pourrez pas le changer, donc tant pis pour lui
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(Fiodor Dostoïevski)
Merci beaucoup. Je vais continuer à vivre en attendant chaque étape et espérant être assez forte, avec suffisamment de distance pour les vivre. Merci à vous. Je reviendrais vers vous pour des conseils plus précis ou un regard extérieur qui me donne à réfléchir si le permettez.
Je serai à votre disposition a vous octroyez de l’argent a résoudre vos problèmes
Méfiance ! C'est le jean12 du Cantal auteur de " Offre de crédits entre particuliers " Méfiance !
Je serai à votre disposition a vous octroyez de l’argent a résoudre vos problèmes
Je reviendrais vers vous pour des conseils plus précis ou un regard extérieur qui me donne à réfléchir si le permettez.
Bon courage et revenez si vous en avez besoin.
Quant à Jean12 ou quiconque qui propose ses services ou de l'argent sur le site, c'est de l'ARNAQUE
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