bonjour,
votre message est difficilement compréhensible.
dans la république française laïque, le fait que votre mari soit un musulman sans conviction n'a aucune importance dans votre affaire.
en application de l'article 220 du code civil, si vous avez donné votre consentement à ce crédit, il y a solidarité et l'organisme de crédit peut vous réclamer le remboursement du crédit et vous pourez demander ensuite à votre mari de vous rembourser.
même si vous êtes divorcés, la solidarité demeure.
salutations