Le notaire a effectivement tort.
Il suffit de relire l'article 730-1 du Code Civil en vigueur suite à la loi du 3 décembre 2001.
Certes, dans son dernier alinéa, il précise que "toute personne dont les dires paraîtraient utiles peut être appelée à l'acte" mais ces intervenants, outre leur caractère optionnel, ne font que transmettre leurs informations personnelles mais à aucun moment ne témoignent de quelque notoriété que ce soit.
En clair, leur présence est plus que subsidiaire.