L'usufruit ne se décide que par acte notarié (soit par volonté des parties soit après décès).
Si lors du divorce, il y a eu, dans le jugement de divorce, ou par acte notarié à part, le fait que votre mère recevait l'usufruit ou le droit d'usage viager de la maison, elle l'a, sinon elle n'a rien.
Si, comme je le pense, il n'y avait ni droit d'usage indiquant qui devait réparer/entretenir la maison, ni usufruit, votre père était autant responsable de la dégradation de la maison que votre mère, en tant que co-indivisaire.
A moins que votre père ait fait un testament déshéritant son épouse, elle reçoit le 1/4 de la succession de votre père, au passage.