Si vous n'y allez pas, si vous refusez, la procédure judiciaire va s'enclencher. Vous devrez payer un avocat et ça se finira par la vente aux enchères du bien. Vous perdrez donc, au mieux, entre 30 et 50% de la valeur de votre part.
Vous ne pouvez pas vous opposer à une fin d'indivision, vous ne pouvez pas vous opposer à la conversion de l'usufruit en capital.
La part de votre belle-mère dépendra de l'option qu'elle a choisi dans la succession. Elle peut avoir l'usufruit de la totalité, ou le 1/4 en pleine propriété et le reste en usufruit.
Concernant la valeur de l'usufruit, on oppose souvent le barème fiscal mais ce n'est pas opposable. L'usufruitier peut exiger plus ou moins. Si les autres refusent, que l'usufruitier reste sur ses positions, c'est la procédure de partage judiciaire qui se finit par la vente aux enchères et le juge qui détermine la valeur de l'usufruit