Bonjour,
Voici la chronologie des démarches que nous avions déjà entreprises en vain auprès de notre préteur, le crédit immobilier de France.
Le 7 juillet 2016, nous avons contacté par lettre recommandé le crédit immobilier de France pour jouir de notre assurance perte emploi que nous avait fait souscrire le conseiller du Crédit Immobilier de France.
N’ayant pas de réponse de leur part, nous les rappelons le 09 Août 2016, il nous confirme par téléphone la transmission de notre dossier à l’assurance CNP et il nous donne leur n° de téléphone. La CNP nous confirme avoir reçu le dossier et qu’il est en cours de traitement.
Le 24 août, n’ayant toujours aucune nouvelle, nous décidons de les rappeler. Surprise aucun dossier en cours ils attendent la lettre du crédit immobilier.
Le 25 août 2016, réception du courrier du crédit immobilier de France avec un fascicule des tarifs et une facturation de 44 € pour frais de dossier pour la demande de prise en compte de l’assurance perte emploi.
Après plusieurs relances, réception du courrier de la CNP qui stipule la clôture du dossier avec un avis défavorable car l’article 4.1 du contrat que l’on nous a fait souscrire, prévois une période de report d’au moins 12 mois consécutifs ou non pour pouvoir bénéficier de cette assurance.
Le 21/11/2016, nous appelons le crédit immobilier de France, suite au conseil de notre assistante sociale, afin de bénéficier d’un report de mensualité.
Nous sommes anéanti d’apprendre que notre crédit ne permet pas le rapport de mensualités car il s'agit d' un crédit revi pass. Nous leurs expliquons que leur conseiller nous a fait souscrire une assurance dont on ne pourra jamais bénéficier car la clause de report ne pourra jamais être honorée. Ils ne veulent rien entendre et nous adresse une lettre, reçue ce jour, qui confirme l’impossibilité de report de mensualités.
Ne sachant plus quoi faire et ayant toujours payer en priorité les mensualités du crédit afin de ne jamais être en impayé, nous allons solliciter le juge pour statuer sur un report de mensualité ainsi que des intérêts pour une période de 24 mois, le temps de retrouver un emploi et revenir à meilleure fortune avant de ne pouvoir honorer et être débiteur.
Pensez-vous, que nous puissions par le biais de la justice dénoncer cette assurance et demander le remboursement des cotisations depuis plus de 10 ans ?
Toutes vos suggestions serons les bienvenues.
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire mon désarroi.
Dernière modification : 25/11/2016