Bonjour,
Je me suis retrouvée en ce cas pénible, dont j'ai certes toutes preuves en mains : "Mon identité, faussée en section DACG-Affaires Criminelles Grâces du Ministère de la Justice, alors que la section DACS a jadis décrété "le changement de mon nom, avec instruction devant le Procureur de Marseille et la Mairie, à l'Etat civil".
Le faux sur mon identité en DACG s'est mis à ressortir en ces deux lieux, non les moindres :
-Le Conseil Général13, qui avait déjà faussé mon identité par le passé, devant le susdit Procureur de Marseille, en cadre d'une redoutable "infraction continue".
-Les services de la Présidence de la République! Telle chef de cabinet ayant alors transmis MON DOSSIER à Mme la Garde des Sceaux au Ministère de la Justice, en exception au principe constitutionnel de SEPARATION des pouvoirs. Ce qui m'a surtout séparée de MON DOSSIER, qui avait valeur de "mon abrégé-mémoire probant du contentieux sur plus de 15 ans d'affilées"!
Puis-je vous prier de croire que TOUT a fini par DISPARAITRE, jusqu'en refus d'aides juri-dictionnelles m'ayant été établis à partir d'autres ERREURS sur mon identité, de la loi de 1991, et j'en passe avec le Bâtonnier et ETC. Vu que j'ai à TERMINER mes défenses et démarches, liées à la fois à "Mes filles dorénavant MAJEURES ainsi que leur 1/2-soeur", à "Ma soeur handicapée et mère dorénavant âgée", puis-je SAVOIR quel est l'article de la C.E.D.H qui vise
Les états de FAUX-DISSIMULATIONS sur IDENTITES, procédures, infractions continues, etc, en cadre d'affaires de pédophiie organisée/Condamnations non jugées définitives, atteintes aux sécurités, à l'intérêt général aux particuliers pour les falsifications de SIGNALEMENTS, etc.
MERCI DE VOS REPONSES.