Bonjour,
Merci pour votre réponse.
Je suis d’accord avec vous toutefois, dans un premier temps, je suis plus tenté par une approche soft et didactique car, même avec le visage flouté, ils se reconnaitront et seront reconnus par la plupart des résidents.
Si l’existence de preuves photographiques ne les dissuadent pas, effectivement, on pourra passer au « démasquage » mais je redoute des chicaneries à base de « droit à l’image » invoquées par des personnes non concernées mais toujours promptes à semer la zizanie.
Cette mise au ban pourrait également faire réfléchir d’autres contrevenants potentiels.