Au départ, en 1949, la situation était limpide et équilibrée.
Aujourd'hui, le but du marchand de biens est d'optimiser au maximum ses acquisitions en utilisant les parcelles acquises qui soutenait, à l'époque, un garage, comme nouveau support de maisons d'habitation avec les conséquences que cela sous-tend : augmentation du nombre d'habitants, donc, augmentation du nombre de passages.
Pour savoir, si l'opération est réalisable, il faudra que les terrains soient vendus et que les acquéreurs obtiennent leur permis de construire, celui-ci, pour son attribution, englobant la question du passage à prévoir pour la circulation des véhicules, notamment.
Quant à l'indivision, si de six/sixièmes, on passe à douze/douzièmes, cela ne change pas grand'chose.
Le droit de passage sera partagé entre davantage de personnes mais, si les permis de construire sont accordés et que ces parcelles sont enclavées, hors cette sortie, il n'y aura pas moyen de dénoncer cette servitude.