Bonjour, Emeline.
"Votre" agent immobilier patauge dans un compact et rustique amalgame de ce qui est pourtant, distinctement :
. Votre éventuelle décision de contraindre votre candidat-acquéreur-se-prétendant-défaillant à poursuivre la vente, pour le cas où son dossier de supposé refus-de-prêt ne tiendrait pas; audit-cas la possibilité de vendre à un tiers serait effectivement bloquée "avant dire droit";
. et la seule poursuite par vous d'indemnisation ou de dommages-intérêts à l'encontre du même, focalisée uniquement sur le dépôt de garantie avec abandon par vous de l'idée de le forcer à acquérir. Ce qui libèrerait entièrement la maison de toute restriction de droit.
C'est l'un ou l'autre, vous ne pouvez pas courir deux lièvres (c'est la saison) à la fois.
Je pense qu'outre la possibilité de poursuivre éventuellement, financièrement "l'acquéreur" (option 2), vous pouvez incriminer l'agence pour défaut carencé de conseil.
"Pour une sonnerie, c'est une belle sonnerie". Boby Lapointe.
(...et ça se prétend savoir et pouvoir guider les choix de leurs clients...)
Votre bien dévoué.
P. S. Pour cette analyse, ais-je bien mérité un cigare ?
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"Meurs et deviens."
- Goethe [Johann (comme moi!) Wolfgang (comme Lui) (von)] -
(conseil à donner à la chenille; pour qu'elle se réalise-finalise-perfectionne, en devenant papillon)
Variante dite à l'oeuf: -Casse toi ! (oiseau ou reptile?)