La commune ayant empiété ma propriété en toute illégalité, pour élargir un chemin rural, j'avais demandé au maire un arrangement amiable, il avait refusé en me disant: que si je fesait un procès à la commune, vous perdrez..
En effet j'ai perdu, le maire savait qu'il pouvait rendre la justice dépendante, qu'il avait la possibilité de corrompre les juges, le géomètre-expert, ainsi que mon avocate.
Il a résulté, que le géomètre-expert a fait une expertise illégale en superposant son plan sur l'ancien cadastre, qui n'a aucune valeur juridique, l'expert n'a pas respecté la jurisprudence, il a violé l'arrêt de cour de cassation du civil du 7 novembre 1972, la cour ayant jugé que les énonciations cadastrales ne constituaient que de simples présomptions.
De plus, le juge du tribunal d'instance, monsieur DARY s'est permis de préciser: Dans MOTIFS DE LA DACISION, que la proposition de l'expert apparait ainsi conforme à la possession actuelle des époux BELLANGER, correspondant ainsi à une juriprudence constante.
Mon avocate m'ayant trahis, j'avais demandé à une avocate de me défendre, elle avait accepté, mais quand je lui avait demandé de dénoncer l'expertise du géomètre, elle avait refusé en me disant : Qu'il ne fallait jamais rappeler la loi à un juge, sous peine de sefaire jeter. Pour cette raison, elle sétait désitée.
Je me suis donc présenté à la cour d'appel sans avocat, sa présence étant obligatoire ce que j'ignorais , le juge acependant rendu une décision en prenant en considération également la proposition de bornage illégale.
C'est faits démontrent qu'il y a un fonctionnement défectueux du service public de la jutice.
Mon avocate ayant fait défaut d'ester en justice, il a nullité d'un acte de procédure.
Pour toutes ces raisons je demande a un avocat dont la profession est la déontologie, de bien vouloir me représenter pour que cette procédure de bornage judicaire soit recommencée ou de faire un procés à l'Etat, je vous en remecie à l'avance.