Bonjour, Monsieur,
Me rapportant à l'hectare exploité par l'agriculteur, si la convention passée avec ce dernier est soumise au statut du fermage, il bénéficie d'un droit de préemption qu'il semble, selon vos propos, disposé à faire valoir. A partir de là, il conviendra de faire borner le terrain dans le but de créer une nouvelle parcelle destinée à cette vente.
Il est possible, également, qu'il renonce à exercer son droit moyennant une indemnité d'éviction qui devra être négociée avec lui.