Bonjour, Nourry.
Je ne dirais pas tout-à-fait exactement la même chose. Il faut surtout regarder si les cautions se sont engagées -comme c'est fait dans la presque-totalité des cas- : "solidairement, et en renonçant expressément aux bénéfices de division et de discussion".(1217 et suivants CC.).
. Division, celà veut dire que -en final- la caution n'est redevable que d'une quote-part de la dette principale, en proportion du nombre des débiteurs -dont la (ou les) caution(s)-.
. Et "sans discussion", signifie que le débiteur ne peut pas "discuter" la dette; et que le créancier peut interpeller -à son seul gré ou caprice- celui des débiteur ou caution(s) qu'il jugera le plus opportun de choisir, le plus convenable, le plus solvable; et ce pour exiger de lui seul la totalité de la dette.
A charge pour le "bénéficiaire" de ce choix, celui qui aura "payé en l'acquit", de se retourner -mais seulement ensuite- contre les co-débiteurs pour régulariser la situation.
Votre bien dévoué.
P. S. Aurais- bien mérité un cigare ? (J'en fume, hélàs).
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"Meurs et deviens."
- Goethe [Johann (comme moi!) Wolfgang (comme Lui) (von)] -
(conseil à donner à la chenille; pour qu'elle se réalise-finalise-perfectionne, en devenant papillon)
Variante dite à l'oeuf: -Casse toi ! (oiseau ou reptile?)