Votre remarque sur mon pseudonyme

Publié le 09/10/2015 Vu 3315 fois 0 Par
logo Legavox
Légavox

9 rue Léopold Sédar Senghor

14460 Colombelles

02.61.53.08.01

robot représentant Juribot

Une question juridique ?

Posez votre question juridique gratuitement à notre chatbot juridique sur Juribot.fr

09/10/2015 13:24

1) Vous vous êtes étonné de la bizarrerie de mon pseudonyme.
Il est simplement formé des 2 premières lettres de chacun de mes prénoms de baptême : ma comme Marie, ro comme...; ge comme ... ; ma comme ...

2) A cause du caractère répétitif des expositions aux ultrasons subies par la victime, ce harcelement par ultrasons en fait un moyen mortel et donc criminel. Une seule irradiation occasionelle aux ultrasons est peu nocive (exemple une échographie occasionelle) mais un harcellement rend les irradiations répétitives; or c'est précisément la répétitivité harcelante d'irradiation par ultrasons qui les rend mortels et donc criminels.
Un "réseau de harceleurs", c'est un manager et des complices qui en général ne se connaissent pas et ignorent être membre d'un réseau. Chaque complice a été contacté individuellement par le manager qui évite de leur envoyer des mails et de leur téléphoner, afin d'éviter d'être géolocalisé.
Les ultrasons sont un moyen de harcelement idéal car ils traversent les murs et donc peuvent être émis incognito.
Ils sont ensuite difficilement détectables par la cible victime de l'irradiation ultrasonore perverse et répétitive; les capteurs des ultrasons émis par les chauve souris, (capteurs en vente dans le commerce) ont une bande de détection assez étroite, et donc n'identifient généralement pas les ultrasons émis par les harceleurs. Le complice électronicien, harceleur indispensable pour un tel réseau de harcelement, modifie souvent la longueur d'onde de ses émétteurs ultrasonores. L'identification probante nécessite un enregistrement d'un épisode ultrasonore puis une analyse par oscilloscope. Mais quelle victime possède un enregistreur et un oscilloscope chez elle au moment du harcelement nocturne qui la réveille ? Une oreille avertie peut cependant identifier le grésillement des ultrasons, et en constater les effets sur son corps pendant la durée de l'irradiation perverse : douleurs cervicales, spasmes dans l'appareil digestif, douleurs osseuses, etc. qui apparaissent au début de l'irradiation ultrasonore et disparaissent à la fin de cette irradiation, en ne laissant que la fatigue. Ces effets sont faibles au cours d'une seule irradiation. Une cible avertie peut cependant les repérer et les distinguer des autres types de douleurs cervicales, digestives, intestinales ou osseuses. Et elle peut repérer dans le temps de lourdes dégradations progressives de sa santé (tel un cancer lié à ces expositions répétitives aux ultrasons, etc.).
La répétitivité des irradiations les rend donc potentiellement mortelles. En France, hélas, les juristes (Procureurs de la République, etc.) et les personnels de santé ( médecins, etc) sont peu informés et peu formés sur ce qu'est un "harcelement en réseau" et ce qui fait la "nocivité des ultrasons", nocivité qui n'est connue en France que depuis 2014. La police française et la médecine française, par manque de formation et d'information, interprètent les dires des vicitimes comme des "hallucinations" nocturnes des plaignants. Or la réalité est tout autre, vraiment réelle et nocive.
Les médecins et les juristes de certains pays francophones (Belgique, Canada) sont mieux formés et informés, d'autant plus que ce genre d'exactions par harcelement d'ultrasons est explicité dans les jurisprudences belges et canadiennes ; mais ce genre d'exactions n'est explicité dans la jurisprudence française que depuis 2014 et encore très rarement.
De même,les jurisprudences de la Cour Européenne de Justice explicitent davantage la nocivité mortelle des ultrasons à répétition, et ce que désigne l'expression "harcelement en réseau".
Auriez-vous la bienveillance de diffuser largement les informations relatives à la "nocivité des ultrasons répétitifs" et donc au danger des "harcelement en réseau" : la diffuser aux ministères concernés ( santé, justice) , et aux tribunaux d'instances, à l'ordre des médecins, à l'ordre des infirmiers, etc.
Soyez en d'avance remerciés.
Marie-Rose Lefévère, titulaire de deux doctorats (Université de Lille 1) dont l'un 1969 surles ultrasons et l'autre en 1982 sur la métrologie.

Bonjour,
Vous avez déjà ouvert une discussion sur ce problème "d'ultrasons" ici --> http://www.legavox.fr/forum/penal/victimes/plaintes/harcellement-irradiation-perverse-ultrasons_77793_1.htm#.Vhelvpck6Hs
Merci de ne pas multiplier les sujets, c'est contraire aux règles d'usage de ce forum...
Dernière modification : 09/10/2015

Répondre

Avez-vous déjà un compte sur le site ?

Si oui, veuillez compléter les champs email et mot de passe sur le formulaire en haut de page pour vous connecter.

Sinon, complétez le formulaire d'inscription express ci-dessous pour créer votre compte.

Inscription express :

Le présent formulaire d’inscription vous permet de vous inscrire sur le site. La base légale de ce traitement est l’exécution d’une relation contractuelle (article 6.1.b du RGPD). Les destinataires des données sont le responsable de traitement, le service client et le service technique en charge de l’administration du service, le sous-traitant Scalingo gérant le serveur web, ainsi que toute personne légalement autorisée. Le formulaire d’inscription est hébergé sur un serveur hébergé par Scalingo, basé en France et offrant des clauses de protection conformes au RGPD. Les données collectées sont conservées jusqu’à ce que l’Internaute en sollicite la suppression, étant entendu que vous pouvez demander la suppression de vos données et retirer votre consentement à tout moment. Vous disposez également d’un droit d’accès, de rectification ou de limitation du traitement relatif à vos données à caractère personnel, ainsi que d’un droit à la portabilité de vos données. Vous pouvez exercer ces droits auprès du délégué à la protection des données de LÉGAVOX qui exerce au siège social de LÉGAVOX et est joignable à l’adresse mail suivante : donneespersonnelles@legavox.fr. Le responsable de traitement est la société LÉGAVOX, sis 9 rue Léopold Sédar Senghor, joignable à l’adresse mail : responsabledetraitement@legavox.fr. Vous avez également le droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle.

Image Banderole Conseil-juridique.net

Consultez un avocat

www.conseil-juridique.net
Me. HADDAD

Droit des ntic

2667 avis

199 € Consulter
Me. BEM

Droit des ntic

1435 avis

249 € Consulter