Si la victime de l'infarctus est l'auteur des violences non, sauf si cela a entraîné des séquelles cérébrales altérant gravement le discernement de l'accusé. A l'exception des troubles entraînant une abolition totale ou partielle du discernement, les problèmes de santé ne diminuent en rien la responsabilité pénale.