Bonjour,
Je présente ma situation en quelques lignes.
Je suis salariée depuis juin 2007 en tant que sous officier de gendarmerie.
Depuis mon affectation, j'ai eu des notations chiffrées qui me sous estimait et qui dévalorisait le travail et l'énergie que je fournissais. Les appréciations littérales expliquaient que je travaillais très efficacement, que j'étais disponible et dévouée mais que je n'étais pas militaire.
Lors de mes deux entretiens annuelles avec mon commandant de compagnie, ce dernier m'a expliqué que ce n'était pas lorsque je travaillais qu'il y avait un soucis mais dans ma vie privée parce que je n'avais pas une attitude de sous officier 365 jours par an.
Concernant ma vie privée, je n'ai jamais été une accros au soirée diverses et variées. Je faisais beaucoup de sport, notamment lors de mes repos, et je passais du temps avec des personnes de mon âge de la commune où j'exerce ma profession. Ces individus n'étaient pas recherchés et n'avaient jamais été condamnés. Certains été sapeurs pompiers volontaire. Je ne dis pas que leur attitude était irréprochable mais chacun sa vie et je n'avais aucune raison de ne pas les fréquenter.
Mes 2 commandants de brigade ont commencé, fréquemment à me convoquer dans leur bureau pour me reprocher mes fréquentations. Ils me reprochaient également de recevoir des individus à mon domicile (je précise de nouveau, aucun d'entre eux n'étaient recherchés où ne faisaient l'objet de condamnation pour crime ou délit).
Ils me reprochaient également de ne pas donner les coordonnées des personnes que je recevaient alors qu'ils ne les avaient jamais demandés à personne. Ils savaient qui je recevais alors que je ne leur en parlais pas.
Lors de ces entretiens, ils attendaient que je me mette à pleurer pour me laisser partir. Je n'ai jamais fait l'objet de santion disciplinaire ni de compte rendu.
Mon CCB m'a reproché d'avoir été ivre en boîte de nuit (je ne boie que très rarement de l'alcool et je n'ai jamais été ivre)
Avec mes collègues, lorsque nous étions d'astreinte, nous nous remplaçions fréquemment les uns et les autres le temps de nos entraînements sportifs. Ils ne l'avaient jamais reprochés à personne, jusqu'à ce que je le demande aussi.
A cause de toute cette pression, il y a un peu plus d'un an je me suis complétement désocialisée, je suis tombée en dépression et dans la boulimie.
Pouvez vous me dire qu'elles sont mes recours?
Je n'ai plus de place mais peut apporter des précisions sur les fai