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Bonjour,
J’ai adressé le courriel ci-dessous avec les noms et prénoms véritables de toutes les personnes concernées à l’Ordre des médecins. Ai-je le droit de déposer celui-ci sur l’un de mes blogs d’Internet aussi avec les noms et prénoms véritables de toutes ces personnes concernées ? Je peux certifier sur l’honneur ou sous serment l’authenticité de tous les faits rapportés.
D’avance je vous remercie pour votre réponse éventuelle.
Bien cordialement à vous,
Zen EDEN
Zen EDEN à
l’ODRDE DES MÉDECINS
CONSEIL DÉPARTEMENTAL
Objet : demande de radiation de l’exercice de leur profession de deux médecins : le Pr… et le Dr…
Paris, le 27 juin 2013,
Madame la présidente,
Je ne suis pas content du tout du Pr… ! Il m’a signalé comme "désordonné, dangereux, délirant mais sans persécuteur", etc. à l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris sans m’avoir convoqué pour me diagnostiquer ou me soigner. Il ne m’a jamais vu ni jamais examiné. C’est parfaitement légal en France mais quand même pas tout à fait normal du point de vue médical. Je lui ai demandé la communication de mon dossier médical mais je n’ai pu l’obtenir qu’au bout de 3 ans suite à plusieurs interventions de la Commission d’Accès aux Documents Administratifs (CADA) et à un recours pour excès de pouvoir par-devant le tribunal administratif. C’est ça le dévouement ? Pour ces faits je demande qu’il soit radié de l’exercice de sa profession par l’Ordre des médecins ! Je me tiens à la disposition de celui-ci et de la justice pour répondre à leurs questions éventuelles.
Le Dr… m’a suivi comme psychiatre psychanalyste pendant 10 ans. Mais dès que celle-ci est passée chef à toutes ses consultations pendant toute leur durée elle ne faisait alors que s’intéresser à son écran d’ordinateur pour y lire ses nombreux méls, rapports, etc. plutôt que de s’intéresser à moi. Je pense qu’elle n’avait en réalité ce trouble du comportement qu’avec moi ! Elle n’a jamais voulu me faire un certificat médical se prononçant sur le diagnostic de son confrère le Pr… qui m’avait signalé à l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris sans ne m’avoir jamais vu ni jamais examiné comme « désorganisé, dangereux, délirant mais sans persécuteur », etc., aussi bien soit en le contredisant que soit en le confirmant ! C’est ça le dévouement ? Je demande qu’elle soit radiée de l’exercice de sa profession par l’Ordre des médecins pour ces faits. Je me tiens à la disposition de celui-ci et de la justice pour répondre à leurs questions éventuelles.
Recevez, Madame la présidente, mes salutations.
Zen EDEN
*pseudonyme
Dernière modification : 28/06/2013
Superviseur
Bonjour,
Même si les faits dénoncés sont réels, vous risqueriez une plainte pour diffamation publique.
"constitue une diffamation toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé"
Que le fait en question soit réel ou inventé...
Mal agir déshonore toujours ; si ce que vous racontez était vrai il n’y aurait jamais d’affaires évoquées par les médias (Cahuzac, Tapie, etc.). N’oubliez pas que je suis la victime pas l’abuseur ! J’attends le verdict !
Superviseur
si ce que vous racontez était vrai
C'est sur que de la façon dont vous répondez à ceux qui essaient de vous aider, ça donne envie...
Vous confondez les choses, ou plutôt vous n'aviez pas précisé que vous étiez titulaire d'une carte de presse.
En effet, la presse a un statut particulier qui lui permet, dans certains cas, d'échapper à ce genre de poursuites. Ce qui n'est pas le cas du commun des mortels...
Vous venez sur un forum juridique pour avoir une réponse juridique, je vous ai donc répondu sur ce point, en tant que personne lambda, ce que vous projeter de faire tombe sous le coup de la diffamation, et de la diffamation publique (cas aggravant) puisque ces faits seraient exposés à la vue de tous sur internet.
Risquer une plainte n'est pas non plus forcément être condamné, déjà il faut que la plainte soit déposée et qu'un juge examine la situation. Il y a des cas de jurisprudence où le mis en cause a été relaxé sous plusieurs conditions, entre autres :
- qu'il soit de bonne foi (ici pas de problème puisque les faits sont vrais).
- qu'il ne cherchait pas à nuire à la personne mais juste à informer (et là, ce n'est pas votre cas puisque votre but est bien de nuire).
Je vous rappelle que dans cette affaire c'est moi qui suis la victime ! La justice protège-t-elle ceux qui nuisent ?
Superviseur
En tant que victime, vous avez des moyens légaux d'agir.
Dépôt de plainte si une infraction pénale a été commise, saisie du tribunal compétent sinon.
Le statut de victime ne vous donne pas droit, à votre tour, d'enfreindre les lois.
Les "coupables" ont aussi des droits...
Mon but n’est pas de nuire "illégalement" à mes bourreaux ! J’ai signalé les faits dont j'ai été victime (sans porter plainte) au procureur de la République et le parquet m’a alors répondu tardivement : "Les faits ne sont pas punissables !" Pourtant le signalement à l’IPPP était bien, à mon avis, aussi bien une calomnie, une diffamation, etc. qu’une faute lourde médicale ! Comment une telle réponse a-t-elle été possible de la part de la justice je n’en sais rien ! Peut-être ne me suis-je pas alors suffisamment expliqué (mon but n’était pas de porter plainte) ! Quant à l’Ordre des médecins auquel je me plains enfin jamais il ne répond à mes courriers quels qu’ils soient (lettre RAR, fax, internet, etc.) ? Dans ces conditions que puis-je faire sinon que saisir l’opinion publique en général ? Mon but est de contribuer à ce que d’autres psychiatrisés ne soient pas à leur tour victimes de bourreaux en psychiatrie comme les miens !
En ce qui concerne vos besoins de pret ou investissement contacter moi sur mon email pour mieux discuter ok Email : oceane.dufour1955@gmail.com merci
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