Bonjour,
Le défendeur m'a opposé une fin de non-recevoir lors de notre audience de mise en état.
Et m'a proposé une somme d'argent à titre de dédommagement tout de même.
Cette fin de non-recevoir a été refuté très facilement.
Mais des mois plus tard, il m'en oppose une autre. Au regard du défaut de qualité à agir.
Or, celui-ci n'en a absolument pas fait état auparavant, pourtant notre affaire à cours depuis de nombreux mois, de plus devant le JME, il m'avait même proposé de l'argent.
Ces manoeuvres ne tombent-elle pas sous le coup de l'interdiction de se démentir au détriment d'autrui ? Venir devant le JME, proposer une somme d'argent, n'est-ce pas bel et bien reconnaitre que le demandeur avait qualité à agir ? De plus, celui-ci se base sur des éléments dont il avait connaissance depuis très longtemps via les pièces communiquées officiellement.
Les fin de non-recevoir ne doivent-elles pas être soulevées simultanément devant le JME ?
Les fins de non-recevoir tardives ne doivent-elles pas être sanctionnées ?