Rupture du contrat d'interim pendant la période de souplesse

Bonjour,
j'ai un contrat d'intérim jusqu'au 31/12/13, avec une période de souplesse à compter du 16/12/13.
L'entreprises utilisatrice m'a aujourd'hui dit de ne plus venir, de façon subite après un désaccord à la fin de la matinée. Face à cette situation j'aimerais savoir:
1)si l'entreprise utilisatrice a un préavis à respecter lorsqu'elle veut mettre fin à la mission pendant la période de souplesse précédent le terme du contrat?
2)si le salaire jusqu'au terme du contrat est quand même dû au salarié en cas de rupture anticipée du fait de l'entreprise utilisatrice?

Merci pour votre réponse.
Julie

Bonjour,
L'entreprise utilisatrice n'a pas de délai de prévenance à respecter pour utiliser la période de souplesse qui est à son usage exclusif et la rémunération de la salarié temporaire dans ce cas ne va que jusqu'au dernier jour travaillé avec le droit à l'indemnité de fin de mission en plus...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

je suis en intérim depuis x mois , mon contrat initiale allais du 06/06/2014 au 03/10/2014 avec une périodes de souplesse sur ce contrat allant jusqu'au 27 octobre 2014 . on me refait un nouveau contrat allant du 06/10/2014 au 15/11/2014. mais j'ai travailler un jour sans contrat le 4/10/2014

ma question cette journée est elle considérer comme une prise de poste sans contrat ?

il me semble que d'établir un nouveau contrat initiale annule la précédente souplesse du précédent contrat ?

Bonjour,
Pour une meilleure compréhension, il serait préférable d'ouvrir un nouveau sujet...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.