PREAVIS ET CONGES SANS SOLDE

Bonjour,
mon patron me propose un licenciement économique . La procédure aura fin vers le fin mai. Avant le licenciement je lui avais demandé un mois sans solde pour participer à un programme avec l'école française d'Athènes qui a acceoté et moi je me suis engagée auprés de cette structure. Maintenant qu'est ce qui se passe avec les deux mois de préavis? Le mois du juin que je ne suis pas là il doit me le payer? Merci beaucoup

Bonjour,
Tout dépend déjà si vous avez l'intention d'accepter le CSP mais si aucun accord n'est encore signé pour un congé sans solde ou tout autre, l'employeur n'est pas obligé de vous l'accorder...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.

Merci de votre réponse.
Je n'envisage pas de prendre le CSP . Alors je me retrouve face au préavis et sa manière d'exécution.... Au pire je prends tout mes congés payés en juin(13j) et juste quelques jours sans solde. Que pensez vous? Dans tout ça il m a même proposé une rupture conventionnelle qui pourra remplacer le licenciement économique si je ne suis pas intéressée du CSP.

Merci

Tout dépend quel accord l'employeur est prêt d'accepter mais normalement, les congés payés qui sont prévus avant et tombent pendant le préavis en prolongent le terme...
Ce qui pourrait être envisagé c'est une rupture conventionnelle et que l'employeur accepte que vous preniez vos congés payés pendant le délai d'environ 5 semaines entre la conclusion et les période renonciation de 15 jours calendaires de renonciation + de 15 jours ouvrables d'homologation en vous payant le reste puisqu'il ferait l'économie du préavis...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.