Augmentation salaire promise et refusée /droit du travail

Bonjour,
Je viens vers vous concernant ma rémunération et mon évolution hiérarchique,
Suite à la démission d'une collaboratrice, on m'a demandé de la remplacée (en+ de mon travail habituel) moyennant une compensation financière,
Vous l'aurez compris cette compensation n'est jamais arrivée,
Suite à plusieurs relances auprès de mon responsable, il me confirme que je toucherai cette augmentation 3mois après, en 2012, même si une nouvelle collaboratrice est venue en renfort entre temps,
Je lui ai donc demandé une preuve de cette augmentation, des semaines passèrent: toujours pas d'écris...Après des relances gentilles, il me jure par téléphone que je toucherai mon augmentation (et changement de statut) à partir de Janvier 2012, et ..........
Oh surprise!!!, Aujourd'hui je reçoit une note d'information émanant du siège, qui nous annonce, qu'à cause de la crise, personne ne touchera d'augmentation jusqu'à nouvel ordre(sauf dérogation pour changement de poste ou statut)...
N'y a t'il pas possibilité de trouver une faille pour réclamer l'augmentation qui m'est dûe? Jouer sur la dérogation pour changement de statut (car mon statut dois quand même évoluer mais pas le salaire!!!)
Naturellement je n'ai aucun écris, et je me rends bien compte qu'on m'a vraiment pris pour un pantin, sans aucune considération

Cette méthode de management n'est pas réglo du tout, mais ils savent jouer avec les écris et n'en faire qu'à leur bénéfice, toutes nos discussions ont toujours été orales! Même si j'ai insisté pour avoir un écris que je n'ai jamais eu! Aidez moi svp

Bonjour,
Il semble que vous n'ayez peut-être pas changé de poste mais que celui-ci est devenu plus important, ce qui justifierait une augmentation malgré la note d'information...
par ailleurs, il faudrait consulter la Convention Collective applicable pour voir si classification et salaire sont respectés...
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Cordialement.

Je vous conseillerais de vous méfier de réponses d'usurpateurs qui n'ont qu'une compétence limitée pour répondre et parfois les inventent sans référence juridique et/ou veulent se substituer au Juge en interprétant la Jurisprudence avec mauvaise foi.