L’INCESTE SUR MINEUR : UN DELIT A PART ENTIERE SANCTIONNE PAR LE CODE PENAL.

Publié le Modifié le 09/03/2016 Vu 61 626 fois 23
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Au titre des atteintes à l'intégrité physique d'une personne, l'article 222-22 du code Pénal rappelle que l'agression sexuelle est constituée par toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. Jusqu’à la Loi N° 2010-121 du 8 février 2010 tendant à inscrire l'inceste commis sur les mineurs dans le code pénal,laquelle qui insère en particulier un nouvel article 222-22-1 dans notre code pénal, ce dernier ne réprimait pas comme infraction autonome les agressions sexuelles entre parents proches ou actes d’inceste. Il tenait cependant compte du lien de famille pour sanctionner en déterminant une circonstance aggravante au lien de famille. En quoi peut-on parler d'évolution ?

Au titre des atteintes à l'intégrité physique d'une personne, l'article 222-22 du code Pénal rappelle que

L’INCESTE  SUR MINEUR : UN DELIT A PART ENTIERE SANCTIONNE PAR  LE CODE PENAL.

Au titre des atteintes à l'intégrité physique d'une personne, l'article 222-22 du code Pénal rappelle que l'agression sexuelle est constituée par toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. Jusqu’à la Loi N° 2010-121 du 8 février 2010 tendant à inscrire l'inceste commis sur les mineurs dans le code pénal,laquelle qui insère en particulier un nouvel article 222-22-1 dans notre code pénal, ce dernier ne réprimait pas comme infraction autonome les agressions sexuelles entre parents proches ou actes d’inceste. Il tenait cependant compte du lien de famille pour sanctionner en déterminant une circonstance aggravante au lien de famille. En quoi peut-on parler d'évolution ?

Avant la Loi, notre code tenait compte du lien de famille pour sanctionner et définir certaines infractions sexuelles en accordant une circonstance aggravante à ce lien de famille.

De ce fait, lorsqu'elles étaient commises par « un ascendant, légitime, naturel ou adoptif, ou par toute autre personne ayant autorité sur la victime ; la sanction était majorée.

Les règles différent selon la nature de l'infraction qu’il s’agisse de  viol, d’agressions sexuelles ou d’atteintes sexuelles, et selon que la victime a ou non dépassé l'âge de la majorité sexuelle fixée à 15 ans, selon le type de comportements déviants lié à la transgression sexuelle.

Or force est de constater que l’inceste revêt un caractère spécifique dans les rapports familiaux, puisqu’ici l’auteur n’a pas besoin d’utiliser la violence, la contrainte, la menace ou la surprise pour arriver à ses fins.

Cet acte, assimilable à un véritable abus de confiance sur l’enfant, permet à tout proche parent d’utiliser la confiance préétablie, du fait du lien familial, pour obtenir faveurs et actes déviants souhaités.

Or malgré cette particularité, notre code pénal, assimilait l’inceste

- soit à un viol, qualifié de criminel  qui relève de la cour d'assises : tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature que ce soit, , lequel commis sur un enfant de moins de quinze ans, est puni de vingt ans de réclusion criminelle quel qu'en soit l'auteur.

- soit , au même titre que la pédophilie en le qualifiant d’attentat à la pudeur avec circonstance aggravante lié à des attouchements qui suppose un contact physique de nature sexuelle soit de l'auteur sur la victime, ou d'une victime, contrainte et forcée.

L'attentat à la pudeur était réprimé plus ou moins sévèrement, selon qu'il a été commis avec violence, contrainte ou surprise, qu’il a entraîné des blessures physiques plus ou moins graves, sur un mineur de quinze ans…

Ainsi, les atteintes sexuelles sur des mineurs âgés d'au moins quinze ans ne constituent des infractions que si elles sont commises par « un ascendant, légitime, naturel ou adoptif, ou par toute autre personne ayant autorité sur la victime », lequel encourt deux ans d'emprisonnement et une amende de 30 000 euros. Article 227-27 du code pénal. Ce texte vise les atteintes sexuelles sans violence, contrainte, menace ni surprise sur un mineur âgé de plus de quinze ans.

En matière d’agression sexuelle, où les circonstances aggravantes peuvent se cumuler, l’acte   commis sur un mineur de 15 ans par un ascendant, fait encourir à son auteur une peine de 10 ans d’emprisonnement et  de 150 000 euros d’amende. ( article 222-30 code pénal).

Avec la nouvelle loi, la spécificité de l’inceste, en tant que tel est désormais reconnue. Il s’agit d’un point important, destiné à  permettre aux victimes de mieux se reconstruire, pendant que certains détracteurs considèrent qu’il n’y a pas grand apport à une telle mesure.

I- Les points essentiels de la réforme

Notre code pénal compte  désormais un paragraphe " de l'inceste commis sur les mineurs " depuis la loi N°2010-121 du 8 février 2010 tendant à inscrire l'inceste commis sur les mineurs dans le code pénal et à améliorer la détection et la prise en charge des victimes d'actes incestueux -NOR: JUSX0908032L. Déposée à l'Assemblée nationale le 18 mars 2009, et adoptée le 26 janvier 2010 elle affiche ses deux objectifs : identifier, prévenir, détecter et lutter contre l'inceste sur les mineurs et améliorer l'accompagnement médical et social des victimes.

A) La définition de l’inceste

Les  "viols et agressions sexuelles sont qualifiés d'incestes lorsqu'ils sont commis au sein de la famille, sur un mineur, par un ascendant ou par toute autre personne ayant une autorité de droit ou de fait".

Un amendement gouvernemental a ajouté expressément à cette rédaction l'inceste entre frère et sœur et l'inceste commis par le concubin d'un membre de la famille.

Ainsi les viols et agressions sexuelles lorsqu’ils sont commis sur un mineur par son ascendant, son oncle, sa tante, son frère, sa sœur, sa nièce, son neveu ou bien par le conjoint, le pacsé ou le concubin d’une de ces personnes, sont considérés comme des incestes.

Le  mineur ne peut  être considéré comme consentant à un acte sexuel avec un membre de sa famille . Il  subit, rappelons le ici, un véritable abus de  confiance de la part d’adultes qu'il côtoiera au sein de la famille, au moment même où il est censé construire  sa personnalité qui entre alors dans un processus de destruction. La notion de contrainte est également précisée, "car la question du consentement est centrale dans la répression de l'inceste".

B) Les nouveaux articles à prendre en compte

Cette loi porte 3 titres.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021794951&dateTexte=&categorieLien=id

TITRE 1 : IDENTIFICATION ET ADAPTATION DU CODE PENAL A LA SPECIFICITE DE L'INCESTE

TITRE 2 : PREVENTION

TITRE 3 : ACCOMPAGNEMENT DES VICTIMES

Une circulaire d’application du 9 février 2010 du Ministre de la Justice vient l’expliciter.

1°-Précision sur la contrainte morale : Une preuve facilitée dans la rédaction de l’article 222- 22-1

La contrainte prévue par le premier alinéa de l'article 222-22 peut être physique ou morale. La contrainte morale peut résulter de la différence d'âge existant entre une victime mineure et l'auteur des faits et de l'autorité de droit ou de fait que celui-ci exerce sur cette victime.

2°-Précisions sur les viols et agressions sexuelles à caractère incestueux

Au sein d’un Paragraphe: sur l'inceste commis sur les mineurs.

Article 222-31-1

"Les viols et les agressions sexuelles sont qualifiés d'incestueux lorsqu'ils sont commis au sein de la famille sur la personne d'un mineur par un ascendant, un frère, une sœur ou par toute autre personne, y compris s'il s'agit d'un concubin d'un membre de la famille, ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait"

Article 222-31-2

"Lorsque le viol incestueux ou l'agression sexuelle incestueuse est commis contre un mineur par une personne titulaire sur celui-ci de l'autorité parentale, la juridiction de jugement doit se prononcer sur le retrait total ou partiel de cette autorité en application des articles 378 et 379-1 du code civil. Elle peut alors statuer sur le retrait de cette autorité en ce qu'elle concerne les frères et sœurs mineurs de la victime.

Si les poursuites ont lieu devant la cour d'assises, celle-ci statue sur cette question sans l'assistance des jurés"

3°-Précisions sur  les  atteintes sexuelles commises  sans violence, contrainte, menace ni surprise sur mineur de quinze ans  qualifiées incestes.

Article. 227-27-2

Les infractions définies aux articles 227-25, 227-26 et 227-27 sont qualifiées d'incestueuses lorsqu'elles sont commises au sein de la famille sur la personne d'un mineur par un ascendant, un frère, une sœur ou par toute autre personne, y compris s'il s'agit d'un concubin d'un membre de la famille, ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait.

Article 227-27-3

Lorsque l'atteinte sexuelle incestueuse est commise par une personne titulaire de l'autorité parentale sur le mineur, la juridiction de jugement doit se prononcer sur le retrait total ou partiel de cette autorité en application des articles 378 et 379-1 du code civil.

« Elle peut alors statuer sur le retrait de cette autorité en ce qu'elle concerne les frères et sœurs mineurs de la victime.
« Si les poursuites ont lieu devant la cour d'assises, celle-ci statue sur cette question sans l'assistance des jurés. »

B) L’amélioration de la prévention de l'inceste

Celle-ci est envisagée notamment en renforçant le rôle de l'école dans la prévention du délit et celui des chaînes audiovisuelles publiques.

L’article L. 121-1 du Code de l’éducation, prévoit que « les écoles, les collèges et les lycées assurent une mission d'information sur les violences et une éducation à la sexualité »

Pour mieux détecter, signaler et prendre en charge les victimes, la loi prévoit également que la formation initiale et continue des médecins, enseignants, travailleurs sociaux et avocats.

C) Un meilleur  accompagnement des victimes

La possibilité de prévoir  un « administrateur ad hoc » désigné dès qu'intervient un signalement d'inceste voit le jour.

L’article 5 de la Loi prévoit que « Lorsque les faits sont qualifiés d'incestueux au sens des articles 222-31-1 et 227-27-2 du code pénal la désignation de l'administrateur ad hoc est obligatoire, sauf décision spécialement motivée du procureur de la République ou du juge d'instruction. »

Son rôle de surveillance, de protection sera essentiel pour prévenir tous risques. Il sera l’interlocuteur privilégié et disponible  du mineur pour l'aider dans les démarches engagées.

D) Une possibilité donnée aux associations de lutte contre l’inceste de se constituer partie civile.

II- Des sanctions accrues

Le ministère public peut poursuivre d'office dès lors qu'il a connaissance des faits. Il n'est donc pas indispensable que la victime porte plainte.

L'article 2-3 du code de procédure pénale autorise les associations de défense, à se constituer partie civile en cas d'atteintes sexuelles incestueuses commises sur un mineur.

Le mineur ne peut être considéré comme consentant à un acte sexuel avec un membre de sa famille. Victime d'une infraction sexuelle, il pourra être  assisté d'un avocat tout au long de la procédure et ce dès le début de l'enquête".

La sanction variera selon qu’il s’agira d’un viol, qualifié crime qui pourra entraîner une condamnation  de 20 ans d’emprisonnement, (article 222-24 du code pénal )  ou bien d’une atteinte sexuelle,

Tarif de base : 5 ans d'emprisonnement et de 75.000 euros d'amende. (article 227-25 du code pénal) au lieu de 2 ans et 30.000 euros d'amende auparavant.

Rappel un retrait de l’autorité parentale, ourra être décidé, conformément aux dispositions de l’article 378 du code civil

Il est à noter, avec cette réforme  que notre arsenal pénal s’est amélioré puisque la défense des plus fragiles, la protection de l'enfance, mais aussi la préservation de la cellule familiale ont fait un nouveau pas en avant …

Demeurant à votre disposition pour toutes précisions.

Sabine HADDAD

Avocat au barreau de Paris

 

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1 Publié par Visiteur
25/03/2015 09:59

Je fais un sujet de droit en cour sur un sujet de viole. Je parle d'une enfant qui se serait fait violé par son beau père depuis l'age de six ans jusqu'à ses treize. Et je voudrais savoir quelle part de responsabilité ses parents ont-ils dans ce viole. S'ils peuvent être poursuivit pour négligence envers leur fille.

2 Publié par Visiteur
25/03/2015 09:59

Je fais un sujet de droit en cour sur un sujet de viole. Je parle d'une enfant qui se serait fait violé par son beau père depuis l'age de six ans jusqu'à ses treize. Et je voudrais savoir quelle part de responsabilité ses parents ont-ils dans ce viole. S'ils peuvent être poursuivit pour négligence envers leur fille.

3 Publié par Visiteur
25/03/2015 09:59

Je fais un sujet de droit en cour sur un sujet de viole. Je parle d'une enfant qui se serait fait violé par son beau père depuis l'age de six ans jusqu'à ses treize. Et je voudrais savoir quelle part de responsabilité ses parents ont-ils dans ce viole. S'ils peuvent être poursuivit pour négligence envers leur fille.

4 Publié par Visiteur
05/04/2015 19:25

Bonjour,
Je voudrai faire suite à "vérité" qui a posé son commentaire le 23 novembre 2014. j'ai l'impression de lire mon propre vécue et mes propres émotions..
Ma fille, d'à peine 9 ans, s'est confiée spontanément à ma mère le 1er janvier 2015, en lui avouant qu'elle subissait régulièrement des attouchements sexuels de la part de son père et ce depuis 2 ans. L'année commence mal... J'ai bien entendu tout de suite porté plainte et fait appel au JAF qui a suspendu le droit de visite pour ma fille, il a fallu tout de même attendre 3 mois après le dépôt de plainte... Mais pas pour mon fils, du coup c'est lui qui subit toute la pression psy de son père, pas facile à gérer pour un enfant de 7 ans. Et là je me rend compte que 3 mois de stress, de pression psy et d'angoisse en 1 phrase, dur d'expliquer ce qu'on vit dans ces moments là. Ces moments où on vous dit qu'il n'y a rien à faire qu'il est en droit de les voir, ces moments où la directrice de l'école, influencée par le père, retient ma fille pour la remettre à son père, où la police démunie (car tant que la JAF n'a pas statué il est toujours dans son bon droit) ne peut que remettre l'enfant à son bourreau...où on vous explique que comme il nie, le non lieu lui permettra de la récupérer à nouveau comme si de rien n'était...
Dans quel monde vit-on, où la seule protection qu'on offre à une petite fille qui a le courage de dénoncer son bourreau de père est de la jeter à nouveau dans son filet... Y a t il une justice? A quoi ça sert de faire autant de publicité sur la prévention et la dénonciation des pédophile (en menaçant ceux qui ne dénonceraient pas à de la prison) si c'est pour se retrouver dans les revers d'une justice qui protège les droits des agresseurs présumés au détriment des droits et de la sécurité des victimes... Ca ne m'étonne pas qu'on en arrive à des cas comme celui du directeur d'école
pédophile récidiviste dans l'Isère...
En espérant que le bon sens fasse son chemin et qu'à l'avenir les petites victimes soient enfin protégées !

5 Publié par Visiteur
30/07/2015 12:50

Bonjour, j'ai été moi-même victime d'attouchement sexuel par mon beau-père. Une enquête est en cour mais aucune preuve concrète n'est trouver. Je m’inquiète pour ma petite sœur de 4 ans et demi qui vie toujours sous son toit. Si il n'est jamais déclarer coupable faute de preuve est-ce possible qu'il n'est pas la garde de ma sœur ou qu'il est mais sous surveillance ?
Merci d'avance.

6 Publié par Visiteur
17/10/2015 10:50

bonjour,ce site tombe a pic :-) lire vos commentaires m'ont fait un bien fou mais me ressort un peux plus de ma honte...j'ai 20 ans aujourd'hui je vie avec mon amoureux depuis plus 2ans maintenant. c'est l'amour fou, c'est la première fois que je m'attache a une personne. les amis pff je m'en fait pleins, c'est normale je ne suis pas moi... Je passe mon temps a faire rire tout le monde, on me voit comme la fille joyeuse et épanouie...
je viens d'Haïti , j'ai été mise dans un orphelinat très tôt par mes parents biologique( ma mère). je ne me rappelle pas combien de temps que je suis resté la bas. enfin bref,à peine 8 ans , me voila adoptée par un couple français. j'étais si heureuse, moi qui vivais dans la faim,la misère et dans la saleté. j'étais impatiente de recommencer une nouvelle vie riche en affections et enfin avec une famille qui allait m'aimer comme je suis. ET bien non, 8 ans j'étais en avance que les autres jeunes filles.Mon corps s'est mis a se transformer ce qui à fait peut être basculer mon père... pendant 2 ans et demis il a abusé de moi... j'ai été détruite définitivement. après mon adoption j'ai souvent demander a mes parents de voir un psy, mais ils ne m'écoutaient pas. Je me faisais du mal pour les réveiller,car ils m'ont adopté tard( 8ans) et j'avais envie de faire un travail sur moi-même.
A 10 ans je n'en pouvais plus,je ne savais à peine parler le français encore moins l'écrire. j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai écris une lettre a mère, lui expliquant les atrocités que son mari me faisait subir. Ma mère a lue cette lettre et en a parler à ma mamie ... je les ai entendu se gronder ma mère et mon père ,et depuis c'était l'horreur.Ma mère me croyait... mais c'est tout
elle me disait qu'avec le temps ça allait passer.Que ce n'est pas grave... Ne raconte pas ça a d'autres personnes, ça reste entre nous...
mon père de lui même avait décidé de minorer( au sein de la famille) mais me surveillait tout le temps en dehors ...
A mes 18ans je décide de quitter mes parents, mon père voulait me couper les vivres, ma mère et ma mamie, se demandaient pourquoi je voulais les quitter. C'était dure vous savez, j'étais perdu entre l'abandon de cette famille et l'envie de me reprendre en main. 20ans aujourd'hui j'ai annoncé à ma mère que j'aillais porter plainte et être suivis par des psy. les deux femmes nient la vérité qui se trouve au-sein de la famille depuis 10ans... elles me disent de ne pas porter plainte, de garder ça encore pour moi, qu'allons nous penser d'elles, et l'entourage tu y pense, que vont ils dire...
Assez, je me suis promise de ne plus me laisser faire, c'est ma vie qui est en jeu, j'ai envie de trouver le bonheur,je crois que tout le monde rêve de la même chose non ? donc j'ai appelé l'association départemental d'aide aux victimes et ils ont pu m'écouter. je les rappel lundi pour prendre rdv

7 Publié par Visiteur
03/11/2015 19:19

Moi même je l'ai était , j'en ai souffert toute mon adolescence à boire fumé en suivent des inconnu aujourd'hui âgé de 19 ans j'y pense encore sa me ronge le coeur j'ai toujours gardé sa pour moi j'en ai jamais parlé à personne , sa restera à jamais en moi jusqu'à ma tombe je ne le souhaite à personne de vivre sa mon dieu je le souhaite à personne sa ma gâchée ma vie:(

8 Publié par Visiteur
03/11/2015 19:25

C affreux à peine âgée de 8 ans petite fille qui joue à la poupée toute innocente depuis ce jour là je n'ai plus jamais était la même foyer famille d'accueil alcool drogue... À trainez dans les squat jai était perturbée par cette ..... On m'a enlevez mon innocence mon âme même aujourd'hui je me dis pourquoi moi qu'esque j'ai fais à leur actuel je bois de l'alcool je me dis que si je bois j'arriverai à oublié ce malheureux moment mais sa restera à graver en moi

9 Publié par Visiteur
11/12/2015 16:33

Bonjour. Le fils de mon mari es accuser d'inceste envers notre fille de 9 ans. Il as lui même 13 ans. J'aimerais savoir se qu'il risque et est ce que ma fille sera protéger envers lui

10 Publié par Visiteur
06/02/2016 12:18

bonjour mon ex mari est accusé a tort, il travail dans le milieu social avec des enfants difficile qui sont parfois eux meme abusé. IL N'oserais jamais toucher un enfant. Je n'inquiète pour lui.Il ne sait pas à qui s'adresser ,il n'a rien à cacher les gendarmes peuvent fouiller partout chez lui , dans téléphone ou son ordi. Il travail de nuit dans le foyer il a voulu remettre un peu d'ordre dans le foyer car cette nuit la deux jeune filles ont voulu mettre le bordel , il n'a pas voulu les laisser faire du coup il a separer les deux filles pour les mettre chacune dans des chambre a part. une des filles sait mis a lui sauter sur le dos et l'autre en a fait autant. Il a fait son rapport dans le cahier de liaison mais ca lui ai tomber dessus . il a eu une mise a pieds. il a eu une reunion pour lui informer que le foyer , les parents des filles et le conseil general pportaient plainte contre lui. que doit-il faire pour se defendre et qui s'adresser. que va t-il lui arriver si il ne trouve pas le moyen de se defendre? sachant que ses filles ont des dossiers chargées pour mensonges sur plusieurs affaires.

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L’Avocate vous fait Juge” Copyright Sabine HADDAD Première Edition : décembre 2013 ISBN: 978-1-291-48466-3 -330 pages

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