La CJUE estime dans son arrêt que la limitation à quelques pays seulement de l’exonération des droits de mutation à titre gratuit va à l’encontre de la liberté de circulation des capitaux ? Toutefois, cette décision n’affecte que les décisions passées, dans la mesure où la France avait décidé le 31 décembre 2014 que cette exonération s’appliquait désormais à tous les Etats membres de l’Union, ainsi qu’à l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein. Elle permettra donc à ceux qui ont payé des droits de mutation à tort d’en demander la restitution.