L’ADN fait peser une lourde menace sur la justice pénale. Si cette technique permet des avancées spectaculaires dans le cadre de l’enquête de police, elle tend de plus en plus à asphyxier le débat judiciaire en devenant, comme l’aveu avant lui, la nouvelle martingale des juges. Alors, comme pour l’aveu hier, il est urgent d’insérer dans le Code de Procédure Pénale un nouveau texte, rappelant aux juges qu’ils ont le devoir de discuter toutes les preuves, y compris celles résultant de l’ADN.
Lire la suiteBlog de Me Frédéric DELAMEA, avocat au Barreau de Versailles, spécialiste en droit pénal
Par Antonio Satta le 17/02/2019 à 20:50
Bonsoir, Comment se peut-il que le parquet puisse délivrer un réquisitoire supplétif ...