En France, comme en Suisse, l'abandon de porte la même définition. Il s'agit de la situation d'absence prolongée du salarié (deux jours suffisent) sans justificatif tels que l'arrêt maladie, la grossesse etc.Â
Cette situation ne correspondant pas à une démission, l'employeur a l'obligation d'initier une procédure de licenciement, si après lettre de mise en demeure ordonnant de au salarié de justifier son absence et à défaut de reprendre son poste, celui ci n'obtempère pas dans un certain délai que la lettre aura eu le soin de lui laisser.Â
Généralement, En France s'en suivra un licenciement là ou le droit social Suisse va plus loin.Â
De fait, l'employeur est de plein droit autorisé à réclamer au salarié une indemnité correspondant à 25% du salaire mensuel du salarié au titre du dommage qu'il subit, étant précisé qu'aucun des jours d'absence injustifiée ne sera rémunéré.Â
Voici de quoi décourager les salariés envisageant de telles pratiques aussi peu loyales.Â
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In France, as in Switzerland, dereliction of duty has the same definition. This is the situation of prolonged absence of the employee (two days are enough) without proof such as sickness, pregnancy etc..
In this situation the employer in France or in Switzerland is obliged to initiate the dismissal proceeding after a formal notice requiring the employee to take back his position.Â
However, what is really good about the swiss law is the fact that the employer is automatically allowed to claim the employee an indemnity equal to 25% of the monthly salary of the employee in respect of injuries sustained, provided that no days of unexcused absence will not be paid.
Here is something to discourage employees considering such practices so maybe time has come for the french legislator to vote such a change.Â