Les juges considèrent que l'adultère du mari est suffisamment établi par la concordance d'une attestation et de notes d'hôtel pour deux personnes.
Ils accordent à la femme 4 000 euros à titre de dommages intérêts pour le préjudice moral occasionné par la dissolution de l'union, en raison des convictions religieuses de celle-ci (CA Bordeaux, 24 nov. 2009).