Après un avis d’inaptitude du médecin du travail préconisant un poste administratif à temps partiel en télétravail (2 heures par jour), le salarié est finalement licencié pour inaptitude et impossibilité de reclassement.
Pour la cour d’appel de Paris, l’employeur n’a pas manqué à son obligation de loyauté et d’adaptation du poste de travail car si le télétravail n’a pas pu être mis en place ce n’est pas dû au refus de l’employeur, mais aux arrêts de travail continus de l’intéressé et au choix de ce dernier de déménager dans un lieu éloigné, situation incompatible avec les contraintes de consultation des pièces comptables et financières sur lesquelles il travaillait.
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