Le permis de conduire et les points: le mythe de l'avant 1992

Publié le Vu 344 020 fois 173
Légavox

9 rue Léopold Sédar Senghor

14460 Colombelles

02.61.53.08.01

Le permis de conduire et les points: le mythe de l'avant 1992

La "légende routière" des permis de conduire permanents obtenus avant 1992 alimente régulièrement les débats...

Traduisant sans doute un agacement des usagers face à la paupérisation de leur permis de conduire, des messages pullulent sur le net faisant croire, à qui le veut bien, que les "vieux permis de conduire" sont à l'abri de toute invalidation pour perte totale de points.

Ne croyez surtout pas tout ce que vous lisez!

Je ne peux m'empêcher de citer le message le plus "fowardé" sur ce thème qui résiste depuis près de 5 ans sur le net malgré les aberrations qu'il véhicule:

 

 

« Info intéressante pour ceux qui ont la chance d’être un peu vieux …et qui de ce fait ont eu leur permis avant le1er juillet 1992.

Cette info est vérifiable sur n’importe quel site juridique, notamment « territoria.fr »

Attention ceci ne concerne que ceux qui ont obtenu leur permis avant le 1er juillet 1992.

Si vous êtes contrôlés, par un radar automatique ou par des agents de la force publique, pour excès de vitesse, vous devez régler rapidement l’amende correspondante MAIS VOUS DEVEZ CONTESTER, PAR LE MEME COURRIER, LE RETRAIT DE VOS POINTS.
En effet, votre permis de conduire vous a été octroyé de façon permanente (catégorie B tourisme) et la loi instituant le retrait de points n’est pas rétroactive.
Ceci est valable pour tous les permis de conduire délivrés avant l’instauration du permis à points.
Le permis à points a été instauré par la loi du 10 Juillet 1989 et il est entré en application, le 1er Juillet 1992.

Ceci est réel. Tous les conducteurs ayant utilisé ce procédé ont conservé l’intégralité de leurs points.

….A FAIRE CIRCULER Merci ! »

 


Tout est faux dans ce message ... ou presque (la date de la loi d'instauration du permis à points et du décret d'application sont exactes).

Le fait de payer une contravention vaut reconnaissance de sa responsabilité par l'usager (contester en même temps n'y fera rien) et entraîne l'extinction de l'action publique. Vous ne pourrez donc plus contester par la suite et le retrait de points deviendra définitif par ce paiement.

Le site "territoria.fr" n'est non seulement pas un site juridique mais surtout, il n'existe pas!

 

Enfin, concernant l'information principale délivrée par ce message, elle est totalement infondée:

Instauré par la loi du 10 juillet 1989 relative à diverses dispositions en matière de sécurité routière et en matière de contraventions, le permis à points français est entré en vigueur en 1992 suite à l’adoption des décrets d’application du 25 juin 1992  et du 23 novembre 1992, parus respectivement au Journal Officiel des 28 juin 1992 et 24 novembre 1992.

La légalité de l’instauration du permis à points a été très virulemment contestée depuis son entrée en vigueur mais, à ce jour, jamais aucun recours effectué n’a rencontré le succès escompté. Le Conseil d’Etat dans un premier temps, par un arrêt du 23 octobre 1993, et la Cour de cassation dans un second temps... par un arrêt du 6 juillet 1993, ont tous deux conforté la légalité de ce dispositif dont la conformité avec la législation européenne a été confirmée par un arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme et du Citoyen, Malige c/ France du 23 septembre 1998.

De son côté, le Conseil Constitutionnel, saisi de la question de la conformité de la procédure de retrait de points avec le principe de liberté individuelle a, quant à lui, confirmé que « sous réserve des garanties dont est assortie sa mise en oeuvre », cette procédure « ne porte pas (…) atteinte à la liberté d’aller et de venir ». (Cons. Constit., n°99-411, 16 juin 1999).

Malgré l’état du droit positif en matière de permis à points, des rumeurs subsistent quant à la non applicabilité de cette loi aux permis de conduire obtenus avant 1992. Des messages sur internet et autres médias circulent, tels que celui reproduit précédemment, laissant miroiter  aux usagers la possibilité de ne jamais perdre aucun point.

L'argument principal argué par le message litigieux est la non-rétroactivité de la loi. Pourtant ce principe souffre de plusieurs exceptions. 

En droit pénal, la loi pénale plus sévère ne peut être rétroactive. Cependant, la sanction de retrait de points est une sanction à caractère administratif et non pénal!

En matière administrative, l'exception de loi dite impérative, en tant qu'elle protège l'ordre public, permet de faire rétroagir toute disposition se conformant à ce noble objectif.

Ainsi, la loi du 10 juillet 1989 qui affecte l'ensemble des permis du système de points est une mesure impérative d'ordre public guidée par son objet qui concerne la sécurité routière.

Il n'y a donc aucune place pour le doute: cette loi s'applique à TOUS les permis de conduire français!!!


Les dispositions de la loi elle-même ne laissent aucune place au doute:

En effet, l’article 1 de cette loi précise bien que:

« Le permis de conduire exigible pour la conduite des véhicules automobiles terrestres à moteur est affecté d’un nombre de points ».


Indirectement, cet article nous renseigne sur l’absence de distinction entre les permis de conduire obtenus avant 1992 et après cette date.

Par ailleurs, L’article 21 précise que:

« I. – Les dispositions des articles 1er à 10 de la présente loi entreront en vigueur le 1er janvier 1990. »

De la même façon, cet article précise clairement que les mesures de modification du permis de conduire en un permis à points entreront en vigueur au même instant, sans en distinguer la date d’obtention.

Il n’y a donc aucune place pour le doute et les diverses rumeurs qui circulent sur internet ou autres médias ne doivent pas gagner votre considération.

Vous avez une question ?

Posez gratuitement toutes vos questions sur notre forum juridique. Nos bénévoles vous répondent directement en ligne.

1 Publié par Visiteur
31/07/2016 22:27

Bonsoir à tous,

À la lecture des différents messages, m'est venu une étrange idée : et si l'on interdisait la voiture trop dangereuse, trop polluante, trop chère....

À noël, je commande un âne. LOL !

Commettre une infraction n'est pas forcément commettre un délit. Et paraît toujours injuste qu'un permis de conduire soit invalidé parce que nous avons roulé à 95 km/ h au lieu de 90 km/ h.
Avant 1992, lorsqu'un juge annulait un permis de conduire, il le faisait suite à un délit.
Aujourd'hui, n'importe quel conducteur peut perdre son permis après plusieurs infractions.
Et c'est là toute la différence....
Et pour autant, même si le nombre d'accidents a très sérieusement diminué, il y a toujours des gens dangereux...

2 Publié par Visiteur
04/08/2016 22:38

bonsoir

On peux dire ce qu'on veux, on sera toujours condamné à payer quelques soit l'infraction et on ne pourra rien faire, je me suis fait flasher à 99km/h à 2h30 du mat sur une portion d' autoroute limité à 90 km/h je précise ligne droite et personne et 2 km après ça repasse à 130 km/h pour moi c'est du racket ni plus ni moins
en plus je connais bien ce tronçon mais faute d'inattention ça arrive mais ça fou la rage

3 Publié par Visiteur
10/08/2016 21:04

L'obtention du permis fait suite à un examen réussi. Qui dit examen, dit référentiel. Or avant 1992, le référentiel a mon examen ne faisait pas mention des points. On a donc changer rétroactivement l valeur de l'examen. Est ce légal ?

4 Publié par Visiteur
19/08/2016 22:25

Rouler sans plaque ou avec de fausse plaque ne plus s arrêter au contrôle et voilà plus de prise de tête ont n a bien des islamistes que l état fiche S pour rien faire et les laisser faire leur exactions que la sécurité routière aille ce faire foutre ; la sécurité routière et juste la plus grosse arnaque du siècle que vos politique ont trouvé pour nous raquetter

5 Publié par Visiteur
26/08/2016 10:34

Bonjour,mon permis en 73 étais Belge,je suis Français et quand je suis revenu habiter en France,les gendarme mon dit que j'étais obligé de le transformé en permis Français.Les temps on changés depuis cette époque !!Par anticipation je me pose la question: Et il possible de recupérer mon permis d'origine,c'est a dire Belge ?

6 Publié par Visiteur
26/08/2016 16:28

S'il était vrai comme le dit nelson que cela s'applique a tous les permis alors il faudra qu'il reponde a cette question. Avant 83 on donnait systematiquement le permis 125 a tous ceux qui passaient le vl sans passer le permis moto. Suite a 83 le permis moto était devenu obligatoire pour le 125. Ont-ils supprimé le permis 125 a tous ceux qu'ils l'avaient obtenu avant parce qu'ils n'ont jamais passer le permis pour cela. Non. Parce que leur permis reste avec la loi en vigueur au moment ou ils l'ont obtenu. Donc si l'Etat a admis pour cela qu'ils ne pouvaient appliquer de retroactivite des lois cela est de meme pour tout. Pas tous les permis ne sont soumis a la meme loi mais reste toujours en rapport a la loi en vigueur lors de leur obtention . Avant 83 c'etait permis a vie sauf infraction tres grave ou on pouvait vous le retirer provisoirement mais en aucun cas vous l'annulez et demander a le repasser. Donc comme avant83 c'était des permis a vie ils peuvent enlever les points qu'ils veulent ils ne pourront pas lui retirer le permis.

7 Publié par Visiteur
06/09/2016 15:46

Bonjour
Je lis de nombreux post sur le fait que l état s en plein les poches avec l instauration du permis à point et le nombre croissant des radars et contrôles.
Certains adeptes extrémistes de la sécurité routière refusent d y voir là une triste realite. C est pourtant vrai : la sécurité routière n est pas le principal souci de notre gouvernement.
Quelques exemples :
- J ai fait un stage il y a 4 ans. 200€ pour.... dessiner pour tuer le temps. En clair : j ai acheté 4 points.
- 2eme ex : en cas d invalidation de permis, on repasse uniquement le code et on récupère 6 points.
J ai repassé le code dans le cadre du permis moto.... et de 8 points, je suis restée à. ...8 points.
- 3e exemple :j ai acheté un VFR avant d avoir mon permis. Je l ai prêté pour qu il ne reste pas sans rouler. La personne à été flashee. Frais de dossier pour PROUVER que je ne pilotais pas : 60€. Or en droit, ce n est pas à l accusé de prouver qu il est innocent.
Pire : à aucun moment le fait que je n ai pas le permis A n a attiré l attention des services publics.
- 4e exemple : le plus triste constat. Malgré toutes les mesures prises, le nombre de morts à de nouveau augmenté. Remplir les caisse de l Etat a bon escient, soit... mais la il n en est rien.
Conclusion : il y a peut être d autres infractions à pénaliser. Par exemple c est CHAUFFARDS, qui restent sur les voix ccentrales d autoroute. .. créant des dépassements par la droite. Ceux qui pensent que les clignotants sont issus utiles. Ceux qui roulent si lentement qu ils en deviennent dangereux. .. Ceux surtout qui ne respectent pas Le distances de sécurité.
Je n ai jamais entendu personne dire qu il a eu un pv pour ce type d infraction.
Mais... Ces contrôles semblent trop compliqués à mettre en place. C est sur... C est mieux d être assis dans une voiture banalisée à papoter avec le collègue

8 Publié par Visiteur
14/09/2016 15:33

• Le permis à points est presque aussi vieux que l' E.I. ! Il a été instauré par la loi du 10 juillet 1989.Pourtant, ce sujet n'a jamais fait l'objet d'un dossier. Normal : pendant des années, il n'y avait rien à dire. Mais un rapport de l'assemblée nationale a changé les choses. La commission des finances y regrette officiellement que, si on ne rajoute pas de radars, "le produit des amendes décroît rapidement" A quoi joue L’état : Veut-il continuer à sauver des vies ou en profiter pour vous frapper au porte-monnaie à coup de contraventions et de stages payants ? Puisqu’il y a des règles sur les routes, nous avons aussi le droit d'utiliser celles qui nous protègent.
Nous sommes dans une "politique du chiffre", avec des primes de rendements.
Connaissez-vous Georges Sarre, c'est lui qui parle de la politique du chiffre.
George Sarre est un homme Politique d'opposition. C'est normal qu'il s'oppose au gouvernement !
En fait, il ne s'agit pas de n'importe quel homme politique. Il s'agit du père du permis à points ! C'est lui qui a mis ce système sur pied, en 1989, alors qu'il était ministre des transports. En gros, l'inventeur du permis à points, lui-même, et il explique aujourd'hui, à demi -mot, qu'il y a tromperie! Ou, si vous préférez, que sous le beau prétexte de la sécurité routière, le gouvernement a installé des planches à billets au bord des routes. A l'époque, ce système était présenté comme un outil pédagogique destiné à toucher les 5% de la population criminogène récidivante? Et pas comme une forme de racket " d'escroquerie aux citoyens ou justiciables".
Puis, au fil du temps, il est devenu un outil de punition collective qui tire à l'aveugle, sans même respecter les droits élémentaires du conducteur. Tenez, quand on vous retire des points, est-ce qu'un juge vous invite à vous expliquer? NON. Alors, ceci relève d’une escroquerie intellectuelle criminelle. Du vol en bande organisé.
Selon un sénateur (Nicolas About), le permis à points aurait causé la perte de 40 000 emplois. Ce parlementaire avait déjà proposé, en vain, de ne plus pénaliser par un retrait de points les conducteurs. Je cite un exemple : Mme Chirac prise dans un sens interdit. Contravention de 4éme classe Réprimée par l'article R 412-28 du code de la route. Amende forfaitaire de 135 euros pouvant être minorée à 90 euros ou majorée de 375 euros avec suspension du permis de conduire.
De plus, le permis à points est entré en application le 1er juillet 1992. Il s'agit bien de l'année 1992 sous le gouvernement Bérégovoy, cette MERDE, c'est les socialo qui nous l'ont pondue. A l'époque, le 1 er Ministre était Mr Jacques CHIRAC. 1er Magistrat de France..." Fais ce que je dis, mais ne fais pas ce que je fais.


De plus, Les PV Injustifiés: Le défenseur des droits, Monsieur Dominique Baudis, hélas décédé, avait déjà décidé de hausser le ton, enjoint Christiane Taubira et Valls de répondre aux préconisations qu'il formulait pour que les automobilistes, victimes d'usurpations d'identité et d'escroqueries cessent de vivre un enfer administratif.
Il relevait que "la complexité du dispositif répressif en matière de sécurité routière et la dématérialisation croissante du traitement des contraventions ne permettait pas de garantir aux usagers d'effectivité de leurs droits ». De plus, la France a été condamnée en mars 2012 par la Cour européenne des droits de l'homme "au motif que le dispositif de contestation de certaines de ces amendes ne garantissait pas un droit effectif au recours" Alors les avocats ou juristes complices du système pour spolier les gens et les envoyer en Prison, sont autant criminels que ceux qui font appliquer les lois. De plus un décret n'a jamais été une loi.Toutes lois contraire au droit de l'homme sont illégales de fais

9 Publié par Visiteur
14/09/2016 17:13

j'ai eu mon permis en 1970, bien entendu le retrait de points a été pratiqué, et à force j'ai fini par perdre tous les points sans y prendre garde.
Dans l'ignorance je n'ai pas suivi de stage de récupération.
Aujourd'hui et depuis plusieurs années j'ai du rendre mon permis, continuant de rouler , je me suis fait prendre 4 fois au cours de contrôle.
j'ai bien essayé d'avoir l'autorisation de le repasser ( visites médicales etc )
Bref je n'y arrive pas.

qu'elle est la solution pour retrouver un état normal, en dehors du véhicule sans permis

MA né en 49

10 Publié par Visiteur
14/09/2016 19:20

Marc antoine, ne t'inquiète pas, voir mon commentaire ci-dessus, j'ai vécu le même crime d’état de non droit.Néanmoins, En 2009, on constatait en effet 92.123 annulations de permis pour solde nul, contre 85.700 en 2010,forcément les gens non plus de permis.On le dira jamais assez, tous les parlementaires qui votent les lois ne sont pas pourris. Mais force est de constater qu'ils profitent d'une mansuétude complice de la majorité de leurs collègues.
Les abus légaux dans lesquels tombe la classe politique française:salaire exorbitant, exonération d'impôts, retraite douillette, cumuls, emplois fictifs, déclarations d'intérêts et d'activités bidons et tant d'autres petits arrangements entre amis, nos élus entretiennent leurs propres intérêts au travers de lois de plus en plus incompréhensibles, quand nous simples citoyens, devons nous serrer la ceinture.pour payer leurs magouilles. Je parle même des préfets qui tuent la justice.Des lois de plus en plus mal faites, inutiles et inintelligibles. des lois ou plus on en mets, moins on comprend!
Dans un ouvrage intitulé Ubu loi, trop de lois tue la loi ! les journalistes xx ont constaté une inflation législative en France.Sur inter net nous pouvons recensé prés de 10500 lois, 127000 décrets, 7400 traités, et 17000 textes communautaires en vigueur? Et pourtant nul n'est censé ignorer la loi, même quand elle devient inintelligible.Pas besoin de s’appeler Jean Louis Debré, dans un article paru en janvier 2014 dans l’hebdomadaire le point," en 1959 le recueil des lois et des résolutions de l'assemblée nationale pesait 500 gr, il atteindra les 10 kg dans une paire d'années.La justice française n'est plus ce qu'elle était. Dérapages du parquet, pressions politiques, parfois et bien souvent corruption, Absence de repères, mauvaise gestion des dossiers confiés aux magistrats, conformisme et soumission d'un corps obsédé par sa carrière sur une justice à deux vitesses.

Publier un commentaire
Votre commentaire :
Inscription express :

Le présent formulaire d’inscription vous permet de vous inscrire sur le site. La base légale de ce traitement est l’exécution d’une relation contractuelle (article 6.1.b du RGPD). Les destinataires des données sont le responsable de traitement, le service client et le service technique en charge de l’administration du service, le sous-traitant Scalingo gérant le serveur web, ainsi que toute personne légalement autorisée. Le formulaire d’inscription est hébergé sur un serveur hébergé par Scalingo, basé en France et offrant des clauses de protection conformes au RGPD. Les données collectées sont conservées jusqu’à ce que l’Internaute en sollicite la suppression, étant entendu que vous pouvez demander la suppression de vos données et retirer votre consentement à tout moment. Vous disposez également d’un droit d’accès, de rectification ou de limitation du traitement relatif à vos données à caractère personnel, ainsi que d’un droit à la portabilité de vos données. Vous pouvez exercer ces droits auprès du délégué à la protection des données de LÉGAVOX qui exerce au siège social de LÉGAVOX et est joignable à l’adresse mail suivante : donneespersonnelles@legavox.fr. Le responsable de traitement est la société LÉGAVOX, sis 9 rue Léopold Sédar Senghor, joignable à l’adresse mail : responsabledetraitement@legavox.fr. Vous avez également le droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle.

A propos de l'auteur
Blog de Maître Nelson de Oliveira

Avocat à la Cour, je propose d'apporter modestement ma pierre à l'édifice de la blogosphère juridique. N'hésitez pas à poster vos commentaires et poser vos questions.

Dates de publications
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux et sur nos applications mobiles