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Articles des blogs juridiques

Noms de domaine : le typosquatting sévèrement sanctionné par la Cour d’appel de Paris
Noms de domaine : le typosquatting sévèrement sanctionné par la Cour d’appel de Paris
Publié le 16/02/12 par Cabinet SOSKIN AVOCATS

La Cour d’appel de Paris vient de sanctionner une société pour typosquatting en raison de l’atteinte au nom commercial et au nom de domaine de la société « typosquattée » ainsi que pour contrefaçon de marque et de droit d’auteur. Par cet arrêt la Cour réaffirme sa volonté de lutter efficacement contre ce type de pratique (Cour d’appel de Paris, Pôle 5, chambre 1, 30 novembre 2011).

La mitigation à la francaise
La mitigation à la francaise
Publié le 16/02/12 par Droit comparé

Les comparaisons entre le droit des contrats de Common Law et son homologue français présentent souvent un rapport de force en faveur du 1er cité. La notion de « mitigation », véritable pierre angulaire des sanctions de l’inexécution en droit des contrats anglo-américain ne semble pas avoir d’équivalent en droit français alors qu’elle est consacrée en Allemagne, en Suisse, pratiquée par les arbitres et occupe une place non négligeable dans les conventions internationales ou encore dans le droit uniforme international . Une fois de plus diront certains, la France fait donc office d’exception. L’arrêt rendu par la seconde chambre civile en date du 24 novembre 2011 représente une occasion opportune de traiter de cette notion de "mitigation" et peut être de voir que finalement, la position du droit français n’est pas si exceptionnelle que cela.

EXPULSIONS : QUEL SORT POUR LES MEUBLES ?
EXPULSIONS : QUEL SORT POUR LES  MEUBLES ?
Publié le 16/02/12 par Maître HADDAD Sabine

Lors de la mise en place de la procédure d'expulsion se pose de savoir comment régler le sort des meubles...Cet article rappelera les principes.

17 KG D'OR, 417 PIECES, 700.000 EUROS, MAIS 1 SEUL TRESOR !
17 KG D'OR, 417 PIECES, 700.000 EUROS, MAIS 1  SEUL TRESOR !
Publié le 16/02/12 par Maître HADDAD Sabine

Un toit en chantier rendra sans nul doute, l'équipe d'ouvrier qui le réparait enchantée... Ceux-ci viennent en effet de découvrir 17 kg de pièces d'or qui sont tombés de petits sacs alors qu'ils rénovaient un toit, sur la tête de l'un d'eux Cette découverte nous incite à remettre au goût la notion de trésor...

Réflexions sur le streaming illégal et le cas MU.
Réflexions sur le streaming illégal et le cas MU.
Publié le 16/02/12 par IPNESS

L'affaire Megaupload, les ambitions de l'HADOPI, SOPA et PIPA, ACTA... vous proposent une représentation sur le thème du Streaming illégal et son avenir.

La vente amiable d’un bien immobilier comme recours contre la procédure de saisie immobilière
La vente amiable d’un bien immobilier comme recours contre la procédure de saisie immobilière
Publié le 15/02/12 par Anthony BEM

Le débiteur qui fait l'objet d'une procédure de saisie immobilière peut vendre lui-même son bien, de gré à gré, dans trois hypothèses, répondant à des régimes différents.

Le phénomène "mot-clé": une limitation de la recherche d'informations
Le phénomène
Publié le 15/02/12 par Info Juridique

Le droit évolue constamment et les professionnels se doivent d’être au fait de l’actualité juridique. Cependant, du fait de la dématérialisation de l'information, de sa production et de sa diffusion à l’ère du numérique, la densité et l’abondance des informations sont telles qu’il est humainement impossible de veiller personnellement à l’évolution juridique ; c’est pourquoi il existe des bases de données juridiques en ligne.

Déplafonnement du loyer d’un bail commercial pour extension de la destination ou de l’activité
Déplafonnement du loyer d’un bail commercial pour extension de la destination  ou de l’activité
Publié le 15/02/12 par Anthony BEM

Le 18 janvier 2012, la troisième chambre civile de la Cour de cassation a jugé que l'extension de la destination du bail commercial permettant d'adjoindre une autre activité à celle initialement prévue dans le contrat de bail entraîne le déplafonnement du montant du loyer (Cass. Civ. III, 18 janvier 2012, N° de pourvoi: 11-10072).

L’admission des créances au passif
L’admission des  créances au passif
Publié le 15/02/12 par Maître Joan DRAY

La conjoncture économique actuelle a entrainé l’accroissement du nombre d’ouverture de procédures collectives. Dans ces conditions, les créanciers doivent se montrer très attentifs et ne pas oublier de déclarer leur créance au passif s’il souhaite un jour en obtenir le paiement. Le contenu de la déclaration est réglementé par l'article L. 622-25 du Code de commerce. Doivent ainsi être mentionnés : - le montant de la créance due au jour du jugement d'ouverture avec indication des sommes à échoir et date de leurs échéances ; - la nature du privilège ou de la sûreté dont la créance est éventuellement assortie ; - le cas échéant, si la créance est en monnaie étrangère, la conversion en euros selon le cours du change à la date du jugement d'ouverture Cette déclaration de créance doit être faite dans un délai de deux mois à compter de la publication du jugement d’ouverture au BODACC. Depuis la loi de sauvegarde du 26 juillet 2005, il est prévu qu’à défaut de déclaration dans les délais, les créanciers ne sont pas admis dans les réparations et les dividendes pendant la durée de la sauvegarde ou du redressement. Autrement dit, la sanction du défaut de déclaration dans les délais est désormais l’inopposabilité de la créance à la procédure collective. Si cette déclaration est essentielle, pour autant elle ne saurait suffire dans la mesure où il faut encore que la créance soit admise au passif par le biais d’une décision du juge commissaire. Cette admission interviendra après vérification par les organes de la procédure de la valeur de la créance. Cet article aura pour objet de revenir sur des cas particuliers d’admission de créance.

Aide de l'Etat pour l'embauche de salariés de moins de 26 ans dans les très petites entreprises : le
Aide de l'Etat pour l'embauche de salariés de moins de 26 ans dans les très petites entreprises : le
Publié le 14/02/12 par Xavier Berjot | SANCY Avocats

Le décret n° 2012-184 du 7 février 2012 (JO 8 fév. p. 2245) institue une aide financière au profit des entreprises de moins de dix salariés, pour l'embauche d'une personne de moins de 26 ans en contrat à durée indéterminée ou en contrat à durée déterminée d'au moins un mois.

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