Articles pour la catégorie : droit de l'immobilier

Articles des blogs juridiques pour la catégorie : droit de l'immobilier

UNE LETTRE D'AVOCAT PORTANT MENTION "OFFICIELLE" PEUT ENGAGER SON CLIENT: SOC, 9 MAI 2012
UNE LETTRE D'AVOCAT PORTANT MENTION
Publié le 24/05/12 par Maître HADDAD Sabine

L'avocat a un mandat de représentation. ses courriers sont en principe confidentiels. Cependant une lettre d'avocat portant la mention officielle peut engager son client et n'est pas couverte par le secret professionnel. C'est ce que nous rappelle la chambre sociale de la cour de cassation dans un arrêt du 9 mai 2012 en validant une vente parfaite.

CONGE COMMERCIAL : MODIFICATION LEGISLATIVE
CONGE COMMERCIAL : MODIFICATION LEGISLATIVE
Publié le 24/05/12 par philippe magdelaine, immobilier

La loi n° 2012-387 du 22 mars 2012 relative à la simplification du droit et à l'allégement des démarches administratives comporte une disposition de nature à modifier la règle applicable en matière de congé

1 ERE CIV,4 MAI 2012:L'IMPORTANCE DE L'ECRIT DANS LA RECONNAISSANCE DE DETTE.
1 ERE CIV,4 MAI 2012:L'IMPORTANCE DE L'ECRIT  DANS LA RECONNAISSANCE DE DETTE.
Publié le 15/05/12 par Maître HADDAD Sabine

Le contrat de prêt est un contrat réel qui suppose de prouver la remise de la chose. Dans la lignée de sa jurisprudence antérieure, la première chambre civile de la cour de cassation le 4 mai 2012, pourvoi N°10-13.545 rappelle que la remise des fonds est présumée du fait de l'existence de la convention. indépendamment de l'écrit et qu'en cas de contestation, la preuve incombe à la demanderesse... " ..la convention n’est pas moins valable quoique la cause n’en soit pas exprimée. Il appartient de ce fait à la demanderesse,signataire de la reconnaissance de dette qui conteste la remise de la somme litigieuse, de rapporter la preuve de ses allégations..."

LE BAILLEUR DOIT JUSTIFIER DES SOMMES PRELEVEES SUR LA CAUTION.
LE BAILLEUR DOIT JUSTIFIER DES SOMMES PRELEVEES SUR LA CAUTION.
Publié le 11/05/12 par Maître HADDAD Sabine

Le dépôt de garantie ou caution, est représenté par une somme d’argent remise par le locataire à son bailleur au moment de la signature du contrat de location. A l’issue du contrat de bail, le bailleur est tenu de le restituer dans les deux mois de la restitution des clés En cas de restitution partielle, il devra absolument justifier des sommes qu’il a prélevées pour opérer légitimement la déduction du montant du dépôt de garantie. A défaut des factures concernées, il s’exposerait à devoir restituer la totalité. C’est ce qu’a jugé la troisième chambre Civile de la Cour de cassation le 15/02/2012... pourvoi N°11-13014

QUAND DEBUTE LE PREAVIS LOCATIF ?
QUAND DEBUTE LE PREAVIS LOCATIF ?
Publié le 11/05/12 par Maître HADDAD Sabine

Quand débute le préavis locatif ?

LE RENOUVELLEMENT DES BAUX DEROGATOIRES.
LE RENOUVELLEMENT DES BAUX DEROGATOIRES.
Publié le 08/05/12 par Maître HADDAD Sabine

L'article L 145-5 du code de commerce définit le bail dérogatoire comme suit : « Les parties peuvent, lors de l'entrée dans les lieux du preneur, déroger aux dispositions du présent chapitre à la condition que la durée totale du bail ou des baux successifs ne soit pas supérieure à deux ans. Si, à l'expiration de cette durée, le preneur reste et est laissé en possession, il s'opère un nouveau bail dont l'effet est réglé par les dispositions du présent chapitre. Il en est de même, à l'expiration de cette durée, en cas de renouvellement exprès du bail ou de conclusion, entre les mêmes parties, d'un nouveau bail pour le même local » Comment se passera le renouvellement ?

Parties communes et parties spéciales et droit de la copropriété:
Parties communes et parties spéciales et droit de la copropriété:
Publié le 03/05/12 par Maître Joan DRAY

Le propre de la copropriété est d'être dissociée en parties privatives destinées à l'usage exclusif d'un copropriétaire, et en parties communes, destinées, quant à elles, à l'ensemble de la collectivité. L'hétérogénéité de certaines copropriétés pose parfois des problèmes, car les copropriétaires qui n'ont jamais accès à certains éléments se montrent à juste titre réticents à les entretenir. Il est alors possible de répartir, par stipulation expresse du règlement de copropriété, les parties communes : - en parties communes générales, propriété de tous - en parties communes spéciales, affectées à certains copropriétaires Cet article a pour objet de rappeler la distinction entre parties communes et parties spéciales et de voir les conséquences de cette distinction sur les travaux et les charges afférentes aux parties communes spéciales.

Règlement de copropriété : modification et opposabilité
Règlement de copropriété : modification et opposabilité
Publié le 03/05/12 par Maître Joan DRAY

Le règlement de copropriété est une convention institutionnelle qui a pour objet d'organiser les rapports des divers copropriétaires entre eux, en définissant leurs droits et obligations réciproques. Il fixe également les règles de gestion de la collectivité, c’est à dire les relations des copropriétaires avec le syndicat Ainsi, le règlement de copropriété constitue la loi des parties. Dès lors, il s'impose à tous les copropriétaires et il leur est opposable. En conséquence, tout copropriétaire peut agir en justice aux fins de faire respecter le règlement de copropriété (CA Paris, pôle 4, 2e ch., 16 nov. 2011, Sellier c/ José Brafman : JurisData n° 2011-02760). Cet article a pour objet de rappeler les modalités de modification du règlement de copropriété avant de voire son opposabilité.

OUBLIER LE FORMALISME DE LA CAUTION,C'EST S'EXPOSER A LA NULLITE DE L'ACTE...
OUBLIER LE FORMALISME DE LA CAUTION,C'EST S'EXPOSER A LA NULLITE DE L'ACTE...
Publié le 02/05/12 par Maître HADDAD Sabine

La caution est un contrat formaliste, à tel point que la Loi est venue protéger celui qui signe un tel acte contre les excès en découlant, en instaurant un formalisme protecteur...

La preuve de la carence d'un débiteur ne conditionne pas la reprise d'une saisie immobilière
La preuve de la carence d'un débiteur ne conditionne pas la reprise d'une saisie immobilière
Publié le 01/05/12 par Maître Matthieu PUYBOURDIN

Dans un arrêt récent, la Cour de Cassation est venue préciser que lors de l'audience de renvoi après autorisation de la vente amiable, la reprise de la procédure de saisie immobilière peut être ordonnée par le Juge de l'Exécution sans être conditionnée à la preuve de la carence du débiteur saisi.

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