Articles pour la catégorie : droit des entreprises

Articles des blogs juridiques pour la catégorie : droit des entreprises

Dessins et modèles : L’action en contrefaçon
Dessins et modèles : L’action en contrefaçon
Publié le 11/07/11 par Murielle Cahen

Quelles sont les conditions d’exercices de l’action en contrefaçon ? Qui a la qualité pour agir ? Quels sont les actes sanctionnés ? Quelles sont les règles procédurales à respecter ? Quelles sont les sanctions ?

CESSION DE FONDS DE COMMERCE: QUAND TOUCHER LE PRIX ?
CESSION DE FONDS DE COMMERCE: QUAND TOUCHER LE PRIX ?
Publié le 11/07/11 par Maître HADDAD Sabine

Suite à la cession d'un fonds de commerce, il faut compter avec les délais d'indisponibilité du prix,destinés à assurer la sécurité juridique de la transaction. Comment se déroulent les choses ?

Création de société en Israel
Création de société en Israel
Publié le 10/07/11 par Emmanuel Charbit, Avocat

Créer une société en Israël est assez simple et demande peu de documentation, cependant il est nécessaire de respecter certaines règles de forme et de fond. L'équivalent israélien de la société à responsabilité limitée (SARL) est la société Ba''am (בע״מ). Pour être constituée, la société devra être inscrite au Registre des Sociétés israéliennes, le Rasham HaHaverot, situé à Jérusalem.

Les dettes des cautions dirigeantes ouvrent droit à la procédure de surendettement personnel
Les dettes des cautions dirigeantes ouvrent droit à la procédure de surendettement personnel
Publié le 05/07/11 par Anthony BEM

Le 2 décembre 2010, la deuxième chambre civile de la Cour de cassation a rendu une importante décision concernant les dirigeants qui se portent caution de leur société en jugeant que « l’'impossibilité manifeste pour une personne physique de bonne foi de faire face à l'engagement qu'elle a donné de cautionner la dette d'une société, qu'elle en ait été ou non la dirigeante, caractérise une situation de surendettement » (Cass. Civ. II, 2 décembre 2010, n° de pourvoi: 09-67503)

La valeur d’apport d’un fonds de commerce ne correspond pas nécessairement à sa valeur vénale
La valeur d’apport d’un fonds de commerce ne correspond pas nécessairement à sa valeur vénale
Publié le 04/07/11 par Soufiane JEMMAR

Les dispositions de l'article 38 quinquies de l'annexe III au CGI, dans sa rédaction applicable à l'année d'imposition en litige, ne font pas obstacle à ce que des immobilisations apportées par des tiers à une société soient inscrites au bilan pour une valeur différente de leur valeur vénale. Dès lors, la valeur d'apport d’un fonds de commerce peut ne pas correspondre nécessairement à sa valeur vénale.

La valeur des parts d’un navire sinistré ne correspond pas au montant des indemnités d’assurance
La valeur des parts d’un navire sinistré ne correspond pas au montant des indemnités d’assurance
Publié le 29/06/11 par Soufiane JEMMAR

La valeur réelle des parts d’un navire ne peut être déterminée par référence à la valeur déclarée dans le contrat d’assurance dans la mesure où le navire avait subi une avarie qui en avait nécessairement diminué la valeur vénale réelle à la date de la cession des parts. L’administration fiscale ne saurait, ainsi, se borner à soutenir que la valeur vénale de chacune des parts correspondait au seul montant de l’indemnité d’assurance versée à la suite du sinistre et ne peut, par ce biais, être regardée comme apportant la preuve qui lui incombe, de ce que la société aurait cédé un élément d’actif à un prix inférieur à sa valeur vénale réelle.

Le compte courant d'associé et le principe du remboursement à tout moment
Le compte courant d'associé et le principe du remboursement à tout moment
Publié le 28/06/11 par Jurispilote

Par Denis Bardin. L'apport en compte courant d'associé est un mécanisme largement utilisé dans la gestion de trésorerie et apprécié pour sa souplesse. Il constitue une avance consentie par un associé à la société. En l'absence de convention particulière ou statutaire, de telles avances sont remboursables à tout moment. La Cour de cassation a récemment réaffirmé ce principe directeur dans un arrêt en date du 10 mai 2011 en écartant l'application de l'article 1900 du Code civil qui offre au juge la possibilité de fixer un terme pour la restitution d'un prêt à durée indéterminée. Cette décision, publiée au bulletin, est l'occasion de revenir brièvement sur le compte courant d'associé et notamment sur son principe directeur : le droit à remboursement immédiat.

Présentation de la finance islamique en France
Présentation de la finance islamique en France
Publié le 20/06/11 par Jurispilote

Par Sylvain Montoro, élève avocat. La finance islamique est une finance qui se veut conforme aux principes religieux de l’Islam définis dans la charia [1] (الـشَّـرِيعَـة). Elle a fait son apparition dans le monde de la finance dans la seconde moitié du XXème siècle et n’a cessé de prendre de l’importance dans le monde des affaires. En 2010, le volume mondial des montages financiers conforme à la charia représentait mille milliards de dollars. L’enjeu économique est donc énorme pour les places financières qui souhaitent capter ces investissements. La place Londonienne s’est d’ailleurs rendue très tôt attractive dans ce secteur porteur.

L'article 57 du CGI porte-t-il atteinte au principe d'égalité devant la loi fiscale ?
L'article 57 du CGI porte-t-il atteinte au principe d'égalité devant la loi fiscale ?
Publié le 18/06/11 par Soufiane JEMMAR

Le Conseil d’Etat a été saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité portant sur la conformité de l’article 57 du code général des impôts aux articles 6 et 13 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen énonçant les principes d'égalité devant la loi fiscale et d'égalité devant les charges publiques. La Haute juridiction a refusé de renvoyer ladite QPC au Conseil Constitutionnel.

Terres agricoles : pourquoi évaluer distinctement les sols et les plantations ?
Terres agricoles : pourquoi évaluer distinctement les sols et les plantations ?
Publié le 18/06/11 par Soufiane JEMMAR

Les plus-values réalisées lors de la cession de terres agricoles conservées dans le patrimoine privé du contribuable relèvent du régime des plus-values des particuliers tandis que celles réalisées lors de la cession des plantations inscrites à l'actif de l'exploitation relèvent du régime des plus-values professionnelles. Dès lors, les contrats de vente devraient mentionner de manière distincte le prix du sol et celui des plantations.

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