Articles

Articles des blogs juridiques

LE GIVE UP AGREEMENT : DÉFINITION ET RÉGIME
LE GIVE UP AGREEMENT : DÉFINITION ET RÉGIME
Publié le 03/12/12 par Ibrahima NIANE

Un Give-Up agreement est une convention entre un courtier qui exécute certains types d'opérations et un compensateur qui devient la contrepartie ultime de ces opérations lorsque la « partie désignée » (le client) confie le dénouement de ces opérations au compensateur.

La publicité ciblée sur Facebook, une atteinte à la vie privée ?
La publicité ciblée sur Facebook, une atteinte à la vie privée ?
Publié le 02/12/12 par emilie b

Sur Internet et en particulier sur les sites de réseautage social, on peut remarquer la présence de nombreuses publicités. Cette publicité est un mode de publicité « ciblée » puisqu’il n’est pas question d’attirer n’importe quel consommateur vers son site mais il s’agit d’observer les internautes sur les différentes plates-formes internet et leur proposer des produits leur correspondant. Ainsi, les réseaux sociaux et en particulier Facebook, en offrant un accès gratuit aux utilisateurs, utilise en contrepartie les données personnelles fournies par les utilisateurs en vue de les revendre à des sociétés commerciales. Il s’agit de leur principale source de revenu. Mais qu'en est-il de la vie privée des internautes ?

Pacte civil de solidarité / PACS
Pacte civil de solidarité / PACS
Publié le 01/12/12 par Maïlys DUBOIS

Le pacte civil de solidarité (PACS) a été mis en place par la Loi n°99-944 du 15 novembre 1999, et réformé par la loi n°2006-728 du 23 juin 2006, est régi par les articles 515-1 et suivants du code civil.

La nullité de la cession de parts sociales pour dol
La nullité de la cession de parts sociales pour dol
Publié le 30/11/12 par Maître Joan DRAY

Le contentieux de la nullité de cession de parts sociales pour dol est abondant. Il arrive fréquemment que le cessionnaire souhaite obtenir la nullité de la cession en raison du dol commis par le cédant. Le dol est une cause de nullité de la convention lorsque les manœuvres pratiquées par l'une des parties sont telles qu'il est évident que, sans ces manœuvres, l'autre partie n'aurait pas contracté. Il ne se présume pas et doit être prouvé. Il en ai notamment ainsi lorsque le cédant a présenté des comptes inexacts de la société en les falsifiant pour masquer la vérité et la réalité de la situation de la société. Le cessionnaire s'aperçoit postérieurement à la cession que la société a de très mauvais résultats. Le dol suppose un élément intentionnel sans lequel il n'est pas possible d'obtenir la nullité. Il arrive également que la société se trouve en état de cessation de paiement au moment où l'acquéreur a acquis les parts sociales et cherche alors à obtenir l'annulation de la cession. Cet article traitera des conditions nécessaires pour que la nullité pour dol soit reconnue.

Obligations des parties durant le préavis consécutif à la rupture du contrat de travail
Obligations des parties durant le préavis consécutif à la rupture du contrat de travail
Publié le 30/11/12 par Maître Joan DRAY

La rupture effective du contrat de travail est le plus souvent précédée d’un préavis. Ce délai de prévenance vise à maintenir la relation de travail pour laisser le temps au salarié et à l’employeur de prévoir les suites à la rupture du contrat (recherche de personnel ou d’emploi). La loi encadre cette phase transitoire en imposant un certain nombre d‘obligations pour les deux parties, salarié (2) et employeur (1). L'inobservation du préavis, quel qu'en soit l'auteur, est alors sanctionnée par l'indemnité compensatrice.

Comment établir un testament
Comment établir un testament
Publié le 30/11/12 par L'info juridique accessible à tous

Suite à un décès les biens appartenant à une personne sont répartis entre ses héritiers selon les règles prévus par le code civil.

LE PRÊT AU PERSONNEL: un avantage pour le salarié
LE PRÊT AU PERSONNEL: un avantage pour le salarié
Publié le 30/11/12 par Maître Joan DRAY

Bien heureusement, la relation de travail n’est pas le théâtre d’un rapport de force permanent entre l’employeur et le salarié, loin de là. Elle aussi le lieu de rencontre d’intérêts convergents et d’entraide mutuelle. En témoigne la pratique des prêts au personnel qui permet au salarié de faire face à certains imprévus (maladies, décès, accident…) et constitue une bonne alternative aux banques et autres organismes de crédit. En pratique, un salarié a plus de facilité à obtenir un prêt de son employeur, dans des conditions souvent plus avantageuses, dans des délais de temps plus restreints, et avec des modalités de remboursement négociées. Pour l’employeur, le prêt au personnel permet d’aider le salarié à faire face à des événements qui peuvent avoir des répercussions sur les conditions de travail (stress, fatigue, dépressions…). Il est relativement sûr du fait de la proximité entre le prêteur et l’emprunteur et offre des garanties certaines en matière de recouvrement de créances. Avant de consentir ou de souscrire (2), il convient de définir ce qu’est un « prêt au personnel » (1).

la consultation de sites internet pendant le temps de travail est-elle répréhensible ?
la consultation de sites internet pendant le temps de travail est-elle répréhensible ?
Publié le 29/11/12 par Franc Muller avocat

Quel salarié – et quel lecteur de ces lignes – peut il décemment prétendre ne jamais utiliser l’ordinateur mis à sa disposition par son employeur pour surfer sur Internet ? bien peu sans doute pourraient répondre par l’affirmative…

Le droit au logement des propriétaires occupants
Le droit au logement des propriétaires occupants
Publié le 29/11/12 par Maître Guidot-Iorio

Thèse de doctorat en droit public qui s'interroge sur les garanties qu'offre le droit de propriété en vue du maintien dans le logement de propriétaires occupants économiquement précaires.

Condition de validité du cautionnement souscrit par une société
Condition de validité du cautionnement souscrit par une société
Publié le 29/11/12 par Maître Joan DRAY

Dans la vie d’une société, elle est parfois amenée à effectuer un acte de cautionnement envers un tiers. Pour le tiers se pose la question de la validité de ce cautionnement si celui-ci n’entre pas dans l’objet social. Récemment un cas c’est présenté devant la Cour de Cassation une SCI s'est portée caution hypothécaire et solidaire auprès de la CCM pour le remboursement d'un prêt personnel consenti au époux X. L’acte de prêt à été signé par les époux X en leur qualité d’associés unique de la SCI. La SCI a été par la suite mise en liquidation judiciaire, le cautionnement du prêt a lors été contesté par la liquidatrice de la SCI. La liquidatrice estimait que la caution étant établi pour un prêt personnel, cet acte n’entrait pas dans l’objet social de la société. Donc l’acte de caution hypothécaire devait être considéré comme nul et n’engageant pas la société. Le cautionnement est une sûreté personnelle (garantie accordée au créancier pour le recouvrement de sa créance). C’est un contrat par lequel la caution s’engage à garantir une créance individuelle. Il y a deux sortes de caution: - La caution personnelle lorsque la caution s’engage à exécuter elle même, dans le cas où le débiteur principal ne remplirait pas son engagement. - La caution réelle lorsque la caution offre en garantie une hypothèque sur un immeuble lui appartenant. On pouvait encore répondre à cette question avec certitude jusqu’à récemment, mais depuis un arrêt de la chambre commerciale de la Cour de Cassation du 8 novembre 2011, confirmé par un Arrêt de la 3 ème chambre civile en date du 11 novembre 2012, un revirement de jurisprudence s’est produit, compliquant les conditions de validité du cautionnement. Les tiers qui acceptent les sûretés consenties par les sociétés devront donc pour l'avenir être prudents.

Image Banderole Conseil-juridique.net

Consultez un avocat

www.conseil-juridique.net
Me. HADDAD

Droit du travail

2666 avis

209 € Consulter
Me. BEM

Droit du travail

1434 avis

249 € Consulter
Image Banderole Conseil-juridique.net

Consultez un avocat

www.conseil-juridique.net
Me. HADDAD

Droit du travail

2666 avis

209 € Consulter
Me. BEM

Droit du travail

1434 avis

249 € Consulter