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Articles des blogs juridiques

Sanction du détournement d'informations par des salariés fondée sur le délit d'abus de confiance
Sanction du détournement d'informations par des salariés fondée sur le délit d'abus de confiance
Publié le 11/12/11 par Anthony BEM

Le 16 novembre 2011, la chambre criminelle de la Cour de cassation a jugé que le délit pénal de l'abus de confiance, prévu et réprimé par les dispositions de l'article 314-1 du code pénal, s'applique aussi au détournement d'informations relatives à la clientèle. Sur ce fondement des salariés ont utilisé abusivement des informations qui leur avaient été confiées les besoins de leurs fonctions dans des conditions étrangères à celles prévues lors de la remise et notamment pour les besoins de la promotion d'une entreprise concurrente, dans laquelle ils exerçaient les fonctions de gestion. (Cass. Crim., 16 novembre 2011, N° de pourvoi: 10-87866).

Réintégration des primes des contrats d’assurance-vie dans l’actif de la succession du défunt
Réintégration des primes des contrats d’assurance-vie dans l’actif de la succession du défunt
Publié le 11/12/11 par Anthony BEM

Le 3 novembre 2011, la 2e chambre civile de la Cour de cassation a jugé que lorsque les primes versées dans un contrat d’assurance-vie sont manifestement exagérées, les héritiers du souscripteur sont en droit de demander leur réintégration dans la succession de ce dernier (Cass. Civ. II, 3 novembre 2011, N° de pourvoi: 10-21760)

Cadeaux et bons d’achat : quel traitement social ?
Cadeaux et bons d’achat : quel traitement social ?
Publié le 11/12/11 par Xavier Berjot | SANCY Avocats

La période de Noël est souvent l’occasion, pour les comités d’entreprise ou les employeurs, dans les entreprises de moins de 50 salariés, de verser aux salariés certains avantages comme des bons d’achats ou des chèques livres. Il importe de connaître le traitement social que l’URSSAF réserve à ces cadeaux et bons d’achat.

Conditions de la cession de parts sociales par un associé de SARL et du refus d’agrément
Conditions de la cession de parts sociales par un associé de SARL et du refus d’agrément
Publié le 11/12/11 par Anthony BEM

Le 2 novembre 2011, la chambre commerciale de la Cour de cassation a jugé que les associés d’une société à responsabilité limitée (SARL) qui refusent d’agréer un nouvel associé de la société dans le cadre de la vente des parts sociales par l'un des associés cédant doivent acquérir ou faire acheter ces parts sociales, dans le délai légal de trois mois à compter du refus d’agrément et qui peut être prolongé de six mois par les juges si besoin(Cass. Com., 2 novembre 2011, N° de pourvoi: 10-15887).

Sanction des méthodes de gestion ou de direction pour harcèlement moral même sans intention de nuire
Sanction des méthodes de gestion ou de direction pour harcèlement moral même sans intention de nuire
Publié le 10/12/11 par Anthony BEM

Le 20 octobre 2011, la chambre sociale de la Cour de cassation a jugé que « le harcèlement moral est constitué, indépendamment de l’intention de son auteur, dès lors que sont caractérisés des agissements répétés ayant pour effet une dégradation des conditions de travail susceptibles de porter atteinte aux droits et à la dignité du salarié, d’altérer sa santé ou de compromettre son avenir professionnel » (Cass. Soc., 20 octobre 2011, N° de pourvoi: 10-15623).

L'usage sérieux de la marque
L'usage sérieux de la marque
Publié le 09/12/11 par Maître Géraldine LALY

Si le titulaire de la marque croit que le seul enregistrement auprès de l’INPI lui permet de se prémunir contre toute utilisation par un tiers de sa marque, il se trompe… Il risque même de voir sa marque tomber au-delà de 5 ans. L’hypothèse (qui n’est pas un cas d’école) est la suivante : vous déposez votre marque pour la protéger mais vous ne l’exploitez pas… Les années passent et vous vous apercevez un jour que celle-ci est utilisée par un autre. Croyant en être le titulaire absolu au vu de l’enregistrement à l’INPI, vous engagez une action en contrefaçon … Et vous vous voyez opposer la déchéance de la marque par ce tiers qui l’exploite à votre place ! C’est ce qu’on appelle la « déchéance de la marque pour défaut d’usage sérieux ».

L’AVENIR DU BAIL COMMERCIAL APRES UN DEPOT DE BILAN…
L’AVENIR DU BAIL COMMERCIAL APRES  UN DEPOT DE BILAN…
Publié le 09/12/11 par Maître HADDAD Sabine

Le dépôt de bilan, et l’ouverture d’une procédure collectives, ne mettent pas fin automatiquement au bail commercial, dont le sort va dépendre du bon vouloir de l’administrateur ou du liquidateur. Les articles L 622-13 et suivants du code de commerce l'envisagent dans le cadre de la procédure collective .

LA DESPECIALISATION EN MATIERE DE BAIL COMMERCIAL
LA  DESPECIALISATION EN MATIERE  DE BAIL COMMERCIAL
Publié le 09/12/11 par Maître HADDAD Sabine

le locataire commercial doit utiliser la chose louée suivant la destination portée dans le bail. Tout changement d’activité, pourrait entraîner la résiliation du bail. Le législation des baux envisage divers cas de déspécialisation Celle-ci sera partielle,ou totale. De quoi s'agit-il ?

NOTE RELATIVE AU REVIREMENT JURISPRUDENTIEL DU CONSEIL D’ETAT EN MATIERE DE CONTROLE DES DECISI
NOTE RELATIVE AU   REVIREMENT JURISPRUDENTIEL  DU CONSEIL D’ETAT  EN MATIERE DE CONTROLE DES  DECISI
Publié le 09/12/11 par ghennai

caractère juridictionnel de la formation disciplinaire du Conseil Supérieur de la Magistrature en Algérie - revirement jurisprudentiel du Conseil d'Etat Algérien - contentieux disciplinaire des magistrats - Ce revirement assure-t-il une meilleure protection judiciaire des magistrats?

l'obligation de sécurité du bailleur est une composante de l'obligation de délivrance
l'obligation de sécurité du bailleur est une composante de l'obligation de délivrance
Publié le 09/12/11 par Maître Joan DRAY

L’obligation de délivrance conforme d’un bien par le bailleur est extensive et comprend aussi l’obligation de sécurité. Cette obligation de sécurité peut être lourde puisque dans le cas de vices cachés le bailleur sera nécessairement responsable, même s’il a pris des mesures pour l’assurer. Cette obligation peut concerner la vétusté des lieux (installation électrique…) voire leur mauvais état sanitaire (amiante…), qui seront souvent caractérisés par un non-respect des normes en vigueur. S'il résulte de ces vices ou défauts quelque perte pour le preneur, le bailleur est tenu de l'indemniser. Cette obligation doit être exécutée à la date de prise d'effet du bail, sauf clause contraire.

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