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Articles des blogs juridiques

L’évaluation fiscale d’un immeuble à usage d’hôtel : l’irrecevabilité de la méthode dite hôtelière
L’évaluation fiscale d’un immeuble à usage d’hôtel : l’irrecevabilité de la méthode dite hôtelière
Publié le 05/06/11 par Soufiane JEMMAR

La valeur vénale d'un immeuble à usage d'hôtel doit être fixée au prix qui peut en être obtenu par le jeu de l'offre et de la demande dans un marché réel à la date de la cession, et ce par comparaison avec des cessions d'immeubles intrinsèquement similaires intervenues à la même époque, de sorte qu'il n'y a pas lieu de mettre en œuvre la méthode dite hôtelière, appliquée par les experts.

Les conséquences de la rupture d’une promesse d’embauche ferme et précise
Les conséquences de la rupture d’une promesse d’embauche ferme et précise
Publié le 05/06/11 par Jurispilote

Le dernier état de la jurisprudence sociale en matière de promesse d’embauche invite les employeurs à la plus grande vigilance. En effet, un arrêt de la chambre sociale de la Cour de cassation en date du 15 décembre 2010 [1] a consacré une solution nettement favorable au destinataire d’une promesse d’embauche, mais difficile à mettre en œuvre…

1 ERE CIV,17 MARS 2011: L'EXCEPTION DE VERITE N'EST PAS LA BONNE FOI DANS LA DIFFAMATION
1 ERE CIV,17 MARS 2011: L'EXCEPTION DE VERITE N'EST PAS LA BONNE FOI DANS LA DIFFAMATION
Publié le 05/06/11 par Maître HADDAD Sabine

L'article 29 de la loi sur la Liberté de la Presse du 29 juillet 1881 définit la diffamation comme suit : "Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés." Une fois la matérialité de l'infraction constatée, l'élément moral sera présumé (art 35 bis, loi 29 juillet 1881 ) Il s'agit d'une présomption simple d'intention délictuelle, donc de la mauvaise foi qui peut être renversée par la preuve de la bonne foi. Parmi les moyens de défense, l’exception de vérité des faits diffamatoires sera distincte de la bonne foi...

Le portage salarial : définition et avantages juridiques
Le portage salarial : définition et avantages juridiques
Publié le 04/06/11 par Anthony BEM

Le portage salarial constitue une « alternative juridique et professionnelle » pour tous les prestataires de service et consultants souhaitant exercer leur activité en qualité de travailleur indépendant, être propriétaires de leur clientèle, tout en bénéficiant du statut de salarié, c'est à dire de la protection sociale et du statut fiscal y afférents.

La nécessité pour un agent immobilier d'établir la faute du mandant pour obtenir un dédommagement
La nécessité pour un agent immobilier d'établir la faute du mandant pour obtenir un dédommagement
Publié le 04/06/11 par Maître Matthieu PUYBOURDIN

Un agent immobilier doit impérativement démontrer que le refus de son mandant de signer la vente est fautif pour prétendre obtenir des dommages-intérêts.

Obligation de motivation en droit d'une proposition de rectification en matière d’évaluation fiscale
Obligation de motivation en droit d'une proposition de rectification en matière d’évaluation fiscale
Publié le 03/06/11 par Soufiane JEMMAR

Les notifications de redressement doivent être motivées de manière à permettre au contribuable de formuler ses observations. L'administration est donc tenue de préciser le fondement du redressement en droit et, notamment, de mentionner les textes sur lesquels elle s'appuie. L’étendue de l’obligation de motivation en droit, celle-ci dépend de l’impact de la procédure de redressement, selon que celui-ci se traduit par un simple rehaussement des valeurs ou entraîne, également, une modification du taux des droits appliqués.

L’évaluation fiscale d’une marque en l’absence de termes de comparaison
L’évaluation fiscale d’une marque en l’absence de termes de comparaison
Publié le 03/06/11 par Soufiane JEMMAR

Si en l’absence d’opérations portant sur des biens intrinsèquement similaires au bien à évaluer, le juge peut recourir à tous les éléments dont l’ensemble permet d’obtenir une valeur aussi proche que possible de celle qu’aurait entraîné le jeu de l’offre et de la demande dans un marché réel, il ne saurait par ce biais retenir une méthode aboutissant non pas sur une valeur vénale réelle, mais sur une simple valeur économique théorique.

la responsabilité du conseil en défiscalisation pour défaut de conseil
la responsabilité du conseil en défiscalisation pour défaut de conseil
Publié le 03/06/11 par Maître Matthieu PUYBOURDIN

Les dispositions législatives "Malraux", "Besson", "Périssol", "Robien" et désormais "Scellier", ont fréquemment amené les conseils en défiscalisation à vendre à des investisseurs des programmes immobiliers à des prix supérieurs à ceux du marché et dans des zones dénuées de tissu économique.

La contestation des PV reste un parcours du combattant....
La contestation des PV reste un parcours du combattant....
Publié le 03/06/11 par Maitre Vanessa FITOUSSI

La vive polémique qui a opposé le gouvernement et les députés de l’UMP sur la question de la suppression des panneaux signalant les radars nous interroge sur le clivage entre grands délinquants de la route et auteurs de petits excès de vitesse seuls exposés en alité et à 90 % aux radars flashs. Les réformes sont elles adaptés à cette réalité ? Cette polémique donne l’occasion aux juristes spécialistes dans cette matière de revenir sur les difficultés rencontrées par les automobilistes souhaitant contester leur excès de vitesse. La vive polémique qui a opposé le gouvernement et les députés de l’UMP sur la question de la suppression des panneaux signalant les radars nous interroge sur le clivage entre grands délinquants de la route et auteurs de petits excès de vitesse seuls exposés en alité et à 90 % aux radars flashs. Les réformes sont elles adaptés à cette réalité ?

Sécurité Routière : les polémiques sur les dernières mesures, quelles conséquences juridiques ?
Sécurité Routière : les polémiques sur les dernières mesures, quelles conséquences juridiques ?
Publié le 03/06/11 par Maitre Vanessa FITOUSSI

Comme chaque décision prise par le pouvoir politique en place sur la sécurité routière, celle-ci a engendré une vive querelle entre les partisans du « tout sécurité », de la répression massive des conducteurs au volant et les protecteurs des droits des conducteurs, surexposés au radar pour de petit excès de vitesse. En l’état du débat, les panneaux signalant la présence de radars fixes seront bien supprimés, d’ici un an à un an et demi. Selon le ministre, ces panneaux d’avertisseurs radars seront remplacés par des radars dit « pédagogiques » qui auront pour objectif de signaler, sans sanctionner, les excès de vitesse. Les radars pédagogiques seront placés dans les zones dangereuses, y compris sur les itinéraires sur lesquels des radars existent selon le ministre. L’autre point de discussion portait sur les avertisseurs de radars dans les GPS ou les produits avertisseurs de radars type Coyote et autres. Les fabricants d’avertisseurs de radars pour les automobilistes semblent avoir eu gain de cause. Ils ne seront pas interdits en France, mais transformés en appareils pour signaler les zones dangereuses, a déclaré vendredi le Ministère de l’Intérieur, ce qui a donné satisfaction aux fabricants. Quelles conséquences juridiques pour les praticiens ?

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